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En août 1945, la Seconde Guerre mondiale se termina. Par contre, elle causa des destructions massives partout au monde. Autant au niveau économique qu’au niveau psychologique, cette guerre qui dura 4 ans aura coûtée la vie à plus de 56 millions de personnes. Ce conflit fut le plus coûteux en vie humaine de toute l’histoire de l’humanité. Des peuples entiers tels que les juifs ont été ravagés par ces années de misères. Les bombardements ont laissé place à de vraies ruines et l’Europe affaiblie permit aux États-Unis de devenir une puissance au niveau économique. Peu après la fin de la deuxième Guerre mondiale, une autre catastrophe mondiale allait se produire : La Guerre Froide. Cette guerre est le conflit stratégique et politique qui se déroula après la Deuxième Guerre mondiale entre les États-Unis et ses alliés démocratiques d’un bord et l’Union des Républiques Socialistes Soviétique (URSS) et les pays communistes de l’autre. Cette dure période durera de 1947 à 1991. Le terme « Guerre Froide » provient du journaliste américain Hebert Bayard Swope lors d’un discours qu’il a rédigé en 1947. Cette guerre a été « froide » à cause qu’il n’eut aucunes attaques, c’était une simple guerre idéologique. Par contre, plusieurs personnes craignaient une « guerre chaude » qui aurait sûrement été nucléaire. Donc, pour empêcher un tel résultat, divers pays envoyèrent des espions dans les pays opposants, faisaient des menaces, et mettaient des pressions politiques, militaires et économiques. Pour bien comprendre le déroulement de cette partie de notre histoire, des éléments tels que l’origine et les causes de la guerre, les alliances militaires, l’espionnage, la course à l’armement, la participation du Canada, l’impact de ce conflit sur la société et finalement, la fin de la guerre vont tous être analysés. CHAPITRE 1 LE DÉBUT DE LA GUERRE FROIDE

1.1 L’origine de la Guerre Froide Entre 1941 et 1945, les États-Unis et l’Union soviétique furent des alliés qui agissaient ensemble pour vaincre l’Allemagne nazie. Du 4 au 11 février 1945 sur la côte de la mer Noire, était réunit en grand secret les chefs de l’URSS, du Royaume-Uni et des États-Unis, c’était la conférence de Yalta. Lors de cette réunion, Joseph Staline (URSS), Winston Churchill (Royaume-Uni) et Franklin D. Roosevelt (États-Unis) ont eu les ententes suivantes : § Avoir des élections libres dans les états européens libérés. § Diviser l’Allemagne en quatre zones, chacune occupées par un des quatre alliés : É-U, URSS, France et le Royaume-Unis. Donc comme prévu, en 1945, suite à la conférence de Yalta, l’Allemagne ainsi que Berlin elle-même fut divisée en quatre grandes zones qui étaient occupées par l’armée d’occupation américaine, française, britannique et soviétique. Mais peu de temps après fin de la seconde guerre mondiale, l’URSS ayant souffert d’énormes pertes contre l’Allemagne nazie, cherchait à se renforcer en utilisant la puissance de ses pays voisins. Donc, en utilisant sa puissance militaire, Joseph Staline, dictateur soviétique a commencé à établire des gouvernements communistes en Europe de l’Est, et ce, malgré les ententes avec les États-Unis durant la conférence de Yalta. De profondes divisions se creusèrent alors entre l’URSS et les États-Unis et rapidement, le monde se divisa en deux blocs différents : l’ouest, dirigé par les États-Unis et l’Est dirigé par l’Union soviétique. Chacun de ces blocs avait des points de vue politiques, économiques et militaires différents et cela causa une rivalité intense entre ces deux superpuissances. Comme le dit Winston Churchill, premier ministre britannique en 1947, « un rideau de fer est descendu sur le continent » C’était le début de la guerre froide.

CHAPITRE 2 LES DIFFÉRENTES FACETTES DE LA GUEERE

2.1 Les alliances militaires Durant cette période, il y avait deux grandes alliances militaires avec des idéologies complètement différentes. Du coté de l’ouest, les Occidentaux croyaient en l’élection démocratique d’un parlement et en une économie capitaliste sur laquelle chaque individu aurait la liberté d’entreprise. Les États-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne, la France, les Pays-Bas, le Danemark, la Norvège, l’Islande, le Luxembourg, l’Italie et le Portugal était tous membres de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) dont le but était de contrer une éventuelle attaque soviétique en Europe Occidentale. De plus, au niveau économique, les États-Unis ont crées en 1948 le plan Marshall. Ce plan consistait en 13 milliards de dollars destinés pour les pays non-communistes ou pour les pays communistes voulant changer d’idéologie. C’était une forme d’attaque qui avait pour but d’empêcher l’URSS de répandre son communiste. Il y avait aussi le bloc communiste (l’est) qui comptait plus de 1 milliard de partisans dans les pays suivants : l’URSS, la Bulgarie, la Hongrie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, la Roumanie, la Chine et l’Albanie. L’est était pour le communisme, une société sans classe sociale où les produits du travail serait répartie entre les individus selon leur besoin. Du côté militaire, les pays communistes faisaient partie du pacte de Varsovie qui était l’équivalent à de l’OTAN. De plus, au niveau économique, l’URSS à crée le COMECON (Conseil d’assistance économique mutuelle) pour contrecarrer les effets du plan Marshall. 2.4 : La technologie employée et la course à l’armement. Bien que la guerre froide fut un conflit politique, ce fut également un temps de développement technologique énorme. Il faut comprendre que durant la guerre Froide, l’URSS et les États-unis étaient constamment en compétition afin de prouver quel système politique est le meilleur. Les deux pays commencèrent dès les années 50 à travailler sur la fabrication de véhicules spatiaux pilotés par des astronautes. En 1957, l’URSS fut le premier pays à envoyer un satellite dans l’espace : Spoutnik1. Indirectement, cela lança un défi aux Américains qui voulaient le plus rapidement possible arriver au même niveau technologique que l’URSS. L’aspect le plus terrifiant de la guerre froide fut la course à l’armement entre les États-unis et l’URSS. Lorsqu’un pays construisait une arme nucléaire, l’autre ripostait en en construisant plus et ainsi de suite. En Union soviétique, ils craignaient tellement une guerre nucléaire qu’on estime qu’ils ont construit suffisamment de bunker souterrain pour réfugier plus de deux tiers de la population de l’URSS soit plus de 170 millions d’habitant. Pour la première fois dans l’histoire, l’humanité avait le potentiel de s’autodétruire. De plus, des coûts énormes ont été dépensés pour la recherche nucléaire. Des rapports ont démontré que les États-Unis ont dépensé plus de 5.5 trillions de dollars pour développer des armes nucléaires soit plus de 22,000 dollars par Américains! Au début des années 90, les É-U et l’URSS combinée avaient plus de 50,000 armes nucléaires ce qui est énorme considérant qu’une seule bombe nucléaire peut tuer plus de cent milles personnes. Par exemple, lors de l’explosion de la bombe atomique à Hiroshima en 1945, 100,000 personnes ont été tuées. S’il y avait eu une attaque nucléaire, on aurait pu observer des orages de feu dans les villes. Par la suite, les endroits touchés prendraient en feux et toute la poussière irait dans l’atmosphère. Les radiations du soleil seraient bloquées par la poussière et la température chuterait de plusieurs degrés. Ce serait un « hiver nucléaire » qui pourrait affecter l’hémisphère Nord pendant plusieurs mois. Par contre, il faudrait plus des centaines d’explosion nucléaires pour que cela se produise. Mais, considérant le nombre d’arme nucléaire que les deux superpuissances avaient, le scénario d’une catastrophe nucléaire devenait probable. Voici un tableau qui montre les forces nucléaires en 1986 des deux superpuissances : FORCES NUCLÉAIRES, EN 1986 ÉTATS-UNIS URSS MISSILES BALISTIQUES INTERCONTINENTAUX Nombres de missilesNombres de têtes 1 0182 118 1 3986 420 MISSILES LANCÉS DE SOUS-MARINS Nombres de missilesNombre de têtes 6165 536 9792 787 BOMBARDIERS À LONG RAYON D’ACTION Nombres d’avionsNombres d’armes nucléaires 1802 520 170680

Également, les deux forces, l’OTAN et le Pacte de Varsovie ne s’armaient pas juste de missiles nucléaires. Des deux bords, il y avait des armées tout à fait impressionnantes. Voici un bilan de chacune de leur armée :

FORCE CONVENTIONELLES DE L’OTAN ET DU PACTE DE VARSOVIE, EN 1986 OTAN PACTE DE VARSOVIE FORCES NAVALES Navire de surfaceSous-marinsAvions embarqués 3661901 950 2202171 100 FORCES TERRESTRES ET AÉRIENNES CharsCannonsAvions 10 0004 7502 500 28 00017 0004 750

2.2 L’espionnage L’espionnage était un des aspects les plus important de la guerre froide. Les espions avaient comme mission d’aller dans les pays ennemis afin de recueillire des informations top secret sur l’armement d’un pays et les plans d’attaques, commettre des assassinats ou bien recueillire des discussions par radio sur des bases militaires. Par contre, ces gens étaient constamment en danger car ils étaient considérés des ennemis des gouvernements. Durant la guerre froide, des espions de la CIA et de la KGB (agences d’intelligence) ont accompli diverses tâches aux ordres des gouvernements. Ces agents, on put prendre part à de nouvelles technologies révolutionnaires comme par exemple, un appareil photo déguisé comme boîte de cigarettes ou un chapeau. Ces divers appareils ont été conçus par les agences d’intelligence afin de faciliter la tâche aux espions. De plus, plusieurs avions étaient employés pour survolés secrètement au-dessus des territoires ennemis. Des avions tels que le U-2 et le SR-71 « Blackbird » prennaient des photographies aériennes afin d’identifier les sites d’armes ennemis. Par contre, l’espionnage aérien était très dangereux à cause que les avions se faisaient toujours identifier par l’ennemi. Par exemple, le 1er mai 1960, le pilote Gary Powers s’est fait abattre en plein vole en espionnant au-dessus de l’URSS. Pour rendre la tâche moins dangereuse, les États-Unis et l’Union soviétique ont commencé à espionner par image satellite. D’après des renseignements basés sur des réseaux d’espionnages démasqués, il semble que les Soviétiques aient réussi à s’infiltrer dans les postes les plus élevés de plusieurs pays de l’Ouest. Par exemple, en 1946 le physicien britannique Alan Nunn May, qui avait travaillé dans le programme atomique américain, fut surpris en train d’espionner pour l’Union soviétique. En fait, il avait même fourni à Moscou des échantillons d’uranium utilisé pour la construction d’armes atomiques. De plus, en juin 1957, Rudolf Ivanovitch alias Martin Collins (maintenant appelé William Fisher) fut démasqué à New York comme étant espion en chef pendant plus de 10 ans. Un autre aspect de l’espionnage est la défection ou en autre mot, la trahison envers son pays. Prenons l’exemple de la défection du Lieutenant soviétique Viktor Ivanovich Belenko considéré aujourd’hui comme étant le plus grand coup de la guerre froide. L’après midi du 6 septembre 1976, avec seulement 30 secondes de gaz restant dans son avion (MIG-25), il ses atterri à un aéroport commercial de Hakodate au Japon. Il venait d’entrer dans le bloc de l’ouest. Durant sont parcours illégal, il volait à quelques mètres de la mer pour ne pas se faire repérer par les radars. Une fois rendue aux États-Unis, c’était la première fois que des experts ont analysé un avion russe. Quant aux Lieutenant Viktor Ivanovich Belenko, le gouvernement américain l’a surveillé, pendant plus de 5 mois et il a passé de longues séances de questionnement. En Union-soviétique, le gouvernement de Staline a inventé une histoire comme quoi il était mort dans un accident de voiture. De plus, en URSS, l’espionnage a permis au dirigeant soviétique Joseph Staline d’éliminer tout forme d’opposition à son gouvernement communiste. Donc, tout citoyens soupçonné de s’objecter à Staline se faisait exécuter ou bien envoyé dans les goulags (camps de travail au nord de l’Europe).

2.3 : Le mur de Berlin La ville de Berlin, capitale de l’Allemagne était le lieu central de l’affrontement de la guerre froide étant donné son emplacement géographique. Dans les années 60, de centaines de milliers de citoyens s’échappaient de l’Allemagne de l’Est, un milieu communiste pour aller prendre refuge dans l’Ouest. En tout, entre 1949 et 1961, 2.6 millions d’Allemands fuirent l’Allemagne. Alors, pour caractériser la frontière entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est et pour arrêter l’immigration, un mur fut construit en plein Berlin à partir du 13 août 1961. Cet événement rendit la guerre froide concrète étant donné la division importante et stratégique du mur.

CHAPITRE 3 LE CANADA À LA GUERRE

Le Canada a soudainement été impliqué dans la Guerre Froide lors d’une défection d’un espion soviétique en septembre 1945. Le jeune Igor Gouzenko, employé à l’ambassade soviétique du Canada, a pénétré dans les bureaux du Ottawa Citizen à Ottawa pour dénoncer un réseau d’espionnage soviétique au Canada. Suite à cette révélation choquante, une panique parcourue le Canada. Cela causa une forme d’anti-communisme énorme auprès de la population canadienne. Les Canadiens s’allièrent rapidement avec les États-Unis étant donné leur emplacement et leur bonne aide. De plus, lors de cette guerre, le rôle principal du Canada était la mission de paix. Dans les années 50, pour défendre l’Amérique du Nord contre de possibles attaques soviétiques, les États-Unis et le Canada travaillèrent vraiment ensemble. Au Nord du Canada, le « Distant Early Warning Line » a été mit construit. Cette nouvelle technologie détectait les missiles ennemis se dirigeant vers l’Amérique du Nord. En 1958, le Premier Ministre canadien John Diefenbaker accepta des États-Unis 56 missiles BOMARC qui servaient à intercepter les Bombardiers de l’URSS. Mais, il refusa toujours d’avoir la tête nucléaire (qui permet de faire une bombe nucléaire) Par contre, de sérieux débats commencèrent au sujet de l’importation d’armes nucléaires au Canada. Pour se protéger contre une éventuelle attaque, En 1959, bâtit sous un champ agricole à Carp (Ontario), le quartier général du gourvernement en cas d’urgence, surnommé Deifenbunker en l’honneur du Premier ministre était en construction. Cet édifice secret de quatre étages permettait d’abriter les dirigeants gouvernementaux, militaires et les hauts fonctionnaires en cas d’attaque nucléaire. Également, il y avait des centres de communications très perfectionnés afin d’espionner d’autre pays.

Durant l’élection de 1963, Diefenbaker fut remplacé par Lester B. Pearson, cet ancien diplomate accepta immédiatement les ogives nucléaires.  Mais, 5 ans plus tard, en 1968, Pierre Trudeau fut élu et les politique Canado-américaine, se décimèrent et Trudeau enleva toutes les armes nucléaires du Canada. 

CHAPITRE 4 L’IMPACT DE LA GUERRE FROIDE SUR LA SOCIÉTÉ MONDIALE

La guerre froide fut une des périodes la plus terrifiante de l’histoire de l’humanité. La peur et l’inquiétude que les gens avaient en vue d’une attaque nucléaire étaient incroyables. Dans les écoles américaines, on pratiquait des exercices où les élèves devaient se cacher sous leurs bureaux au son d’une sirène, une précaution contre des attaques de missiles. Au Canada, il y avait des tests à la radio afin de préparer les gens au désastre possibles. La peur des citoyens était principalement due au manque d’informations. Personne ne savait vraiment comment allaient les relations entre l’URSS et les É-U. Bref, les citoyens de l’époque vivaient dans l’incertitude totale et dans la peur d’une destruction nucléaire.

CHAPITRE 5 LA FIN DE LA GUERRE FROIDE

En 1980, il eut une dernière période de friction entre les États-unis et l’Union soviétique à cause de l’invasion des Soviétiques en Afghanistan. Leur but était encore une fois de répandre leur régime communiste. Dans les années 85, Mikhail Gorbachev devena chef du Parti communiste de l’URSS et très vite, grâce à la vision démocratique de Gorbachev, le président Ronald Regan des États-unis et le président de Gorbachev commencèrent à participer à des réunions afin d’avoir de meilleures relations entre l’Est et l’Ouest. Finalement, en 1987, les deux chefs se sont mis en accord afin d’éliminer certaines armes nucléaires et en 1989, l’URSS enleva ses troupes de l’Afghanistan. C’est durant cette année que le régime communiste de l’URSS commença à se dissoudre. En fait, plus de 300 millions de citoyens soviétiques devaient malheureusement attendre des heures pour acheter du fromage ou une simple paire de soulier. De plus, après plus de 28 ans d’existence, durant la nuit du jeudi 9 novembre au vendredi 10 novembre, le mur de Berlin s’effondra sous les manifestations des habitants de l’Est. Grâce aux annonces des radios et des télévisions qui annonçaient : « Le mur est ouvert! » Des milliers de Berlinois de l’Est se pressèrent au point de passage et exigèrent de passer. Alors, le 3 octobre 1990, l’Allemagne fut réunit et c’est en cet honneur qu’aujourd’hui, le 3 octobre, est la fête nationale de l’Allemagne. En août 1991, des extrémistes communistes de l’Union soviétique ont tenté de causer un coup d’état mais, Boris Elstine, alors Président de la République russe amassa une foule à Moscou pour manifester contre le communiste. Alors, lors d’un court discours fait en décembre 1991, le chef du parti communiste, Gorbatchev, avoua la défaite. Le drapeau rouge de l’Union soviétique laissa alors la place au drapeau tricolore de la Russie et tous les différents pays membres de l’Union soviétique devinrent indépendants. C’était la fin d’un régime communiste et le début d’une nouvelle ère…

CONCLUSION

En conclusion, la guerre froide a été une dure pour l’humanité. La possibilité d’une destruction massive était à nos portes. Malgré le fait qu’elle a été froide, il est important de noter que cette guerre fut aussi dangereuse que n’importe quels autres conflits. Il est intéressant de noter la puissance qu’une guerre idéologique peut avoir sur le monde. Les pays communistes vivaient dans la crainte des pays démocratiques et vice-versa. Les menaces nucléaires pétrifiantes, les grands complots d’espionnage et la construction du fameux mur de Berlin ont tous étés des éléments qui ont rendu la guerre froide concrète. Cette guerre de grande envergure a également permis un développement technologique majeur et a permis la création de nouvelles alliances militaires telle que l’OTAN La destruction du mur de Berlin et la chute du régime communiste de l’URSS ont assuré une nouvelle paix mondiale. Cependant, ce fut de brève durée car en 1992, un autre conflit éclata : la guerre de Bosnie. De plus, bien que de nombreux gens croyaient tous les vestiges de l’URSS s’était éteint il y a bien longtemps, en novembre 2006, un ancien général de la KGB, Alexandre Valtérovich Litvinenko, s’est fait empoisonner dans un restaurant de sushi à Londres. Plusieurs gens croient que s’est Vladimir Poutine, le présent président de la Russie qui a assassiné ce général, puisqu’ils étaient des ennemis depuis 1990. Pour l’instant, ce n’est qu’une mort mystérieuse mais une qui apporte plusieurs hypothèses dérangeantes sur ce qu’est de la Russie aujourd’hui.

BIBLIOGRAPHIE

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