User:Gilberto eklou

Situer au Nord par le Burkina Faso au Sud par l’Océan Atlantique à l’Est par le Benin, à L’Ouest par le Ghana avec une superficie de cinquante six mille six cent kilomètre carré avec une population d’environ cinq million d’habitants, avec pour capitale Lomé, petit pays de l’Afrique de l’Ouest, nous sommes au Togo. Le pays qui m’a vus naitre un pays qui n’est ni meilleur ni pire que les autre mais que j’aime de tout mon cœur. Je suis venus au monde dans un petit village nommé Lébé situé au Sud Est de Lomé la capitale un mardi du 04 février 1992 à 1h30 minutes. Selon ma mère je suis venus au monde avec un sourire, normalement tout le monde vient au monde en pleurent dès qu’il son au contacte avec l’air que nous respirons on dira qu’on connait ce qui nous attend à l’ instant où on sort du ventre de nos maman. Moi je riais simplement on dirait que je savais déjà que j’allais quoiqu’il en soit en sortir victorieux. Tout commence cette date. Voici à quoi je ressemble quelque moi après ma naissance. Ces meilleurs vœux écrits sur la photo ma accompagné toute ma vie et j’ai su relevé tous les défit, enfin presque.

Apres être venus au monde le sourire à la lèvre je tombais dans une terrible maladie. Pendant un moi environ je pleurais sans arrêt. Nuit et jour je pleurais les docteurs faisait tout ce qui est de leur pouvoir pour me sauver en vingt. A l’époque mon père n’était pas croyant il était animiste et se promenait de village en village a la recherche d’une potion magique ou quelque chose qui pourrais me faire arrêté de pleurer. Mais hélas ! Il ne parvenait pas à satisfaire sa recherche et pourtant il continua à chercher. Me voila quelques jours après être complètement guéri de ma maladie j’étais presque fini. Un jour pendant qu’il était entraine de chercher encore et encore un remède miracle pour guérir son fils, l’hôpital ou ma mère et moi étaient hospitalisés recevaient la visite des missionnaires qui étaient en évangélisation. Ce jour là selon ma mère était un jour miracle. Les missionnaires étaient au nombre de quatre. Ils passaient dans le couloir quand soudain ils entendirent la voix d’un bébé qui avait de la peine à pleurer. J’en étais fatigué de pleurer puisque je pleurais depuis déjà un moi environ. Pendant que je pleurais ou ma mère ne savais plus quoi faire pour me faire taire, les missionnaire cogna a la porte et ma mère les invitaient a rentrés. Quand ils étaient rentrés je faisais de la peine j’étais à moitié mort. Ils demandaient a ma mère ce qui ce passait et ma mère leur disaient que c’est comme ça je suis venue au monde en riant et tout le monde avait trouvés cela drôle et peu de temps après j’ai commencé a pleuré et je me suis pas tue jusqu'à présent et sa date déjà de plus d’un moi. Je m’arrêtais de pleurer seulement si j’avais sommeil et mon sommeil ne durait pas plus de vingt minutes. Ils étaient dépassés par mon histoire au début ils avaient peur de m’approcher eux aussi mais ils avaient pitié de ma mère qui était a bout de souffle. Ils demandaient à ma mère si elle était croyante et elle répondit non. Ils lui demandaient encore si mon père lui connaissait Dieu et ma mère répondit encore non. Alors ils l’ont demandé si elle voulait recevoir jésus, et elle leur dit : je suis près à recevoir n’importe quoi ou qui pourvu que mon fils arrête de pleure et guérisse de sa maladie. Une mère est prête à tout faire pour son enfant quoi qu’il en soit une mère est un petit dieu derrière Dieu. Sur mes deux poignés étaient attaché des trucs dont on ignorait leur puissance mon père avait attaché n’importe quoi sur mes poignés car selon lui c’est les sorcier et il me protégeait lui a sa manière des esprits mauvais. Ils demandaient la permission à ma mère de couper tout ce que mon père avait mi sur mes poignés. Ma mère avait peur, elle se dit si elle les coupe et que ma santé s’aggrave, mon père allait lui tenir comme responsable elle hésite un petit instant et coupa tout. Les missionnaires lui ont demandées de fermer les yeux et elle les exécuta. Ils commencèrent a prier tous les quatre a l’instant ou ils ont commencer a prier j’ai commencer moi a mon tour a pleurer très fort ma mère redevenait très inquiétante elle voulait les viré de la chambre et remettre les choses a leur place mais quelque chose lui disait patience et elle se patientait les missionnaires prièrent pendant plus de vingt deux minutes mais je continuais a pleurer, et trente minute environ je diminuait de ton tout en continuant de pleurer et après plus d’une heure de prier, a l’instant même ou ils prononçaient le mon AMEN !! J’arrêtais de pleurer. Les missionnaire en question vous le confirmeront y comprit ma mère mon père et l’infirmière qui était de garde ce jour la.

Ces événements se déroulent le, huit mars mille neuf cent quatre vingt douze a seize heure quarante minutes.

Ma mère pleurait de joie il n’y avait pas de téléphone portable a l’époque pour qu’elle appelle son mari et lui annoncer la nouvelle. Elle était impatiente de voir son mari revenir … Les missionnaires lui montrèrent leur lieu d’évangélisation, pour qu’au retour de mon père ils viennent témoigner de la gratitude de dieu le dimanche.

Et ils repartir. Ils avaient un silence de cimetière dans la maternité et a chaque foi que quelqu’un passait il se demandait si j’étais mort ou bien on nous avait transférer, personne ne pensait que sa pouvait être qu’une guérison ils pensaient tous que j’étais mort. Tout cela faisait parti du plan de dieu cela devait  arriver c’est pourquoi ça arriva.

A dix huit heure mon père était de retour avec des gris gris plus lourd et plus puissant que ce qu’il m’avait apporté au par avant. Quand il rentra dans la maternité c’était très calme et lui a déjà imaginé le pire ; et a commencer à pleurer avant d’arriver devant la porte de notre chambre d’hôpital. Il ouvra la porte et aperçu que je dormais il ne comprenait rien, il ne voyait guerre les bracelets qu’il avait mi sur mon poigné avant de partir. Mon père avait peur et était fiers en même temps, il demanda a ma mère ce qui c’était passé et ma mère en lui racontant la nouvelle était émue les larmes aux yeux. Mon père jeta le coli qu’il avait en main et cria de joie en telle sorte que les voisines de chambre coururent voir ce qui se passait encore dans cette fameuse chambre. Le dimanche très tôt le matin, mon père et ma mère se rendirent au lieu d’évangélisation et témoigner de la gratitude de Dieu devant une foule énorme qui ont acclamées très fort le grand Dieu. C’est le jour ou mes parents devenaient des chrétiens. Mon père renonça a aller voir les féticheurs pour quoi que se soit et ma mère Prenat Dieu comme son seul sauveur et l’adora en toute sincérité. Trois jours après on nous laissait rentrer à la maison. Ce fut ma guérison totale et je ne tombais plus jamais malade jusqu'à l’âge adulte. Je commençais à grandir petit a petit et à trois ans et demi je suis rentré à l’école puis que mon père était le directeur pédagogique d’une école publique.

Mon premier jour de classe je n’étais pas ravi de partir à l’école mais il le fallait en ce moment.

A six ans je commence le cours préparatoire première année.

J’avais accepté d’aller à l’école le jour là parce que je partais avec ma grande sœur et deux de mes demi-frères. Ils étaient en kaki complet et comme j’étais habillé de la même façon, j’étais ravi de partir avec eux.

Le sac pesait un peu lourd mais il le fallait. C’est grâce à ses trois personnes que j’ai accepté d’aller à l’école. Derrière moi ma grande sœur Viviane elle est coiffeuse esthéticienne à Lomé mariée et trois enfant ; derrière elle Ayawovi il est au Nigeria carreau leur de métier, il est marié et père de deux garçons ; derrières lui Alex il est au Ghana et travail dans la compagnie de l’électricité du Ghana marié et père d’un enfant ; moi et bien… je ne suis pas encore marié mais bon, affaire à suivre…

En deuxième année déjà j’avais une obsession pour le football cette année là l’enseignement générale organise le tournoi des inter-écoles et notre établissement devait jouer contre une école voisine située a dix kilomètre de  notre établissement. Pendant que notre école jouait j’étais au terrain avec mon père et ma mère pour suivre le match et au moment ou les gens jouaient tout ce que je voulais c’était de rentrer sur le terrain et jouer avec eux, mais j’étais trop petit et mon père craignait que le ballon me tape dessus ou encore quelqu’un me face du mal.

A la mi-temps notre école menait de deux but a zéro en ce moment, mon père m’avait acheté une chaussure de sport et un ballon de foot et comme c’était la mi-temps il ma laissé rentré sur le terrain et avec quelque enfant ont jouaient. Je prenais vraiment du plaisir en jouant, j’avais l’impression que les personnes assises autour du terrain étaient la pour me regarder joué et j’étais très heureux. Déjà je comprenais le plaisir que cela faisait le fait de jouer le football. Quinze minutes après le match devait reprendre et moi je n’avais pas fini de jouer et je ne voulais pas quitter le terrain en ce moment et quand on essayait de me sortir avec la force je résistais mais a quoi sert la résistance d’un enfant de six ans a peine ?? Ils réussirent à me faire sortir et quand il me faisait sortir, le publique voulait qu’il me laisse jouer avec les grands. Dehors je continua a pleurer et quelque minute après la reprise notre école marquait le troisième but alors mon père me faisait une blague et me dit : vas t’échauffés tu va rentrés bientôt alors je suis parti m’échauffé avec les autre enfant on jouait a coté et je commençais même a oublier ce match quand soudain notre établissement marque le quatrième but et dès que j’ai écouté le cri du but, je me suis rappelé de la promesse que mon père m’avait faite et je suis revenu le voir pour lui dire avec les larmes que j’ai fini de m’échauffer. Il fallait que je joue ce jour la c’était plus fort que moi.

Depuis toujours j’ai aimé le football et sa restera mon jeu préféré ; même si le ballon est plus grand que moi, je le faisais rebondir et courir a l’époque.

Je ne croyais pas moi-même, mais il appela l’arbitre assistant et lui demande un changement. Il fait sorti l’attaquant et me fait rentrer. J’étais sur le terrain et je courais moi aussi derrière le ballon. Quelque minutes après j’étais a bout de souffre et je suis venu le voir pour lui dire de me faire sortir mais il ne voulait pas il me dit : tu voulais joués non ? Alors va jouer et je reparti encore m’arrêter au centre du terrain, je m’étais assis et les gens avaient criés très fort et sa ma fait peur du coup je me suis levé et je regardais les gens joués. Suite a un but que notre école avait raté, l’école adverse avait contre attaquée, j’étais la seule personne qui se trouvait un plus proche de notre poteau a part notre gardien de but. Le porteur de ballon ignorait ma présence au milieu du terrain, moi je le voyais venir tout droit sur moi avec le ballon a vive allure une chose était claire dans mes yeux ce n’était pas un joueur de notre école et au moment ou il allait me dépasser au centre j’ai essayé de lui arracher le ballon en touchant le ballon dans son pieds et le ballon se dirigeait vers la ligne de touche il couru derrière pour en continuer vers notre but mais malheureusement pour lui le ballon sorti en touche et tout le terrain était en cri du fait que j’ai empêché ce but je n’étais qu’un gosse et je ne savais même pas ce que je faisais mais j’ai j’empêché un but l’hors d’un match capital ce petit est un footballeur selon tous les spectateurs. A la fin du match on me souleva et me traita comme un héro, on me balança dans tous les sens et moi je comprenais même pas ce qui se passait alors je me suis mi a pleuré et ma mère venait m’arracher dans leur main et m’expliqua ce que j’ai fais et combien de fois la foule était fiers de moi et c’est a ce instant que j’ai compris que en touchant le ballon du pieds de ce joueur j’empêchais un but de rentrer. Le jour d’après pendant les entrainements mon père m’amenait et je m’entrainais avec l’équipe malgré mon âge on me met derrière pour que j’empêche les gens de venir marquer des buts. J’étais très fiers de ce rôle qu’on me confiait et j’empêchais vraiment les gens de marquer par ce que de un ils avaient peur de me blesser et de deux ils ignoraient ma présence ; par ce que j’étais vraiment très petit. J’ai vraiment pris du plaisir en s’entrainant avec les joueur de mon école je me sentais très utile. Durant toute la semaine ont s’étaient entrainés et le samedi quand mon père ne m’amena pas au terrain, j’étais furieux et j’ai longuement pleuré avant de comprendre qu’il n’avait pas cours le jour la et par conséquent pas d’entrainement. Durant tout le tournoi on me mettait dans le jeu vers la fin du match et je prenais du plaisir malgré que je fasse pas grandes chose.

Notre école fut éliminée en demi-finale du dit tournoi et c’est comme ça que ma passion pour le football à commencer. L’année suivante je repris les cours mais à chaque fois que je devais aller à l’école il faut que je trouve mon ballon si non je n’allais pas au cours.

Ce que j’aimais à l’époque c’est la récréation ! Pendant la récré, j’étais la seule personne qui possédait un ballon et les amis m’attendaient devant la sale de classe et dès que la cloche sonne c’est le football qui commence et quand il était l’heure de retourner en classe il faut qu’on vienne avec le bâton pour nous faire renter dans les classes. Plus je grandissais plus mon obsession devenait grande pour le foot. Si tu m’envois quelque part, pris pour qu’il n’y est pas une partie de football vers l’endroit ou tu m’envoi si non, soit je reviens plus tard, soit si c’est quelque chose que tu m’envoi achetés pour toi je perds l’argent et je reste jusqu'à la fin du jeu. Mon jouet quand j’étais môme était le ballon tu peu acheté ce que tu veux a qui tu veux mai moi il me faut un ballon de foot c’est ce que je demandais a chaque fois que je voulais quelque chose. Trois ans plus tard quand je rentrais au cours moyen première année, mon père fut affecté dans une autre région et on devait déménager.

C’était le jour ou ont déménageait pour la première fois

J’abandonnais tous mes amis et parti avec un ballon neufs que mon père m’avait acheté a la veille pour que je ne pleur pas mes amis. Mon père prenait un poste a quelque kilomètres de la ville de Tsévié un chef lieu de la préfecture de Zio une région du Togo. Je n’avais pas regretté le changement de localité puisque aussitôt arriver là dès ma première sortie avec le ballon j’ai trouvé de nouveaux amis avec qui on pourrait jouer. Ma mère faisais de son mieux pour que je sois bien habillé je lui dois tout et jamais je n’oublierai ce qu’elle a fait pour moi elle a toujours été là pour moi et malgré mon âge adulte elle prend toujours soin de moi.

Mon père m’achetait toujours les bons ballons c’est pour cela que je trouvais toujours les gens pour en jouer. Mais j’avais toujours une règle à moi : quand on joue il me faut faire des passes régulièrement si non la partie risque de finir.

Arriver au cours moyen deuxième année je n’apprenais plus trop a l’école et je passais plus de temps avec le ballon que avec le cahier alors mon père me dit si je travaille plus bien en classe j’aurais plus de ballon mais par contre si je travaille bien j’aurais souvent les nouveau ballon et c’est ainsi que je travaillais bien a l’école et je jouais aussi beaucoup. Après avoir obtenu mon certificat d’étude du premier degré, je rentrais au collège et c’est la que les choses sérieuses ont commencées ; dans notre collège chaque année scolaire se déroulait un tournoi des classes surnommé interclasse si j’avais choisi ce collège c’est a cause de cette compétition scolaire. J’étais petit de taille mais ma réputation d’un passionné de foot ma précédé tellement qu’au premier jour de classe je fus sélectionné dans l’équipe de la classe et je fus nommé aussi vice capitaine ; et ce statut il me l’on donné par ce qu’ils savent que mon père m’acheta souvent des bons ballons et avec ces ballon l’équipe de la classe pouvait s’entrainée avec. Le tournoi commence habituellement le deuxième trimestre donc au premier trimestre on s’entraine et on bosse dur pour avoir les moyennes en fin de trimestre. Cela n’a pas été considérablement difficile pour moi le premier trimestre était très bon et mon père m’avait fait une promesse en disant que si je travaille bien et avoir une moyenne de quatorze, il m’achètera le ballon de la coupe du monde France 98 et tellement je voulais ce chai d’œuvre que j’ai relevé le défi et mon père me la acheté. Au début de deuxième trimètre commença le tournoi, ma mère m’avait acheté une chaussure Nike total 90.

J’adore le football plus que toutes autres choses au monde Ne demander pas pourquoi je suis toujours entrain de jongler ? J’adore jongler.

Mon idole était Ronaldo tellement je vénérais le monsieur que malgré les miracles que j’avais fais quand j’étais encore plus petit en défendant les buts je redevenais attaquant de point. Le premier match n’a pas été comme je voulais mais j’avais fais de mon mieux et toute l’équipe a fait ce qu’il fallait pour qu’on revienne a la fin avec un point suit a un match nul et vierge qu’on avait fait ce jour la.  Je n’étais pas très content de mon travail mais d’aucune trouvait sa très bien mais bref je voulais marquer et sa na pas été le cas et pour moi c’est synonyme de défaite.

Au deuxième match je faisais un doublé et on remportait le match par un score de deux but a zero.mon père devais être la mais il n’était pas la a cause d’un empêchement professionnel de dernière minute. Mais quand il apprit la nouvelle il était fier de moi. En quart de final on battait la quatrième A sur tire au but et on fut éliminée en demi finale par la troisième C. Ce fut un exploit jamais une équipe de seconde n’a réussi a atteindre ce niveau de la compétition l’année a été bonne pour moi par ce que j’avais joué et c’est tout ce que je voulais dans ma vie joué et encore jouer je commençais a aimé cette région quand l’année suivante mon père fut affectés de nouveau encore et sa je l’avais mal vécu je ne voulais pas partir puisque je ne sais pas si là ou on allait il y a un collège qui joue les interclasses aussi. Mais mon n’avais pas le choix et on ne pouvait pas me laisser aussi seul là. Mon père se rendit dans la nouvelle région et venu avec de la bonne nouvelle pour moi car il y a un collège nouvellement crée ou on joue les interclasses aussi. Tant mieux je pouvais alors partir sans problème. Pour la deuxième fois encore je déménageais encore mais j’avais peur. Je ne savais pas si je pourrais intégrer bien et vite les équipes de football. Mais la population était très accueillante et le jour ou on arrivait il y avait un match de football dans la région et moi au moment ou on sortait les bagages du camion moi je suis directement parti voir le niveau du jeu et leur manier de jouer. Ils jouaient parfaitement bien, j’étais impressionné par leur football et du coup j’ai aimé la région. Mais d’autre bonne surprisse m’attendait encore, derrière notre logement se trouvait un grand terrain de football bien taillé alors je suis retourné à la maison en joie alors mon père m’a demandé si j’ai aimé le coin je lui ai répondu : j’ai adoré et il était très heureux pour moi. Les premières années étaient très cool jusqu'en classe de quatrième ou j’ai vu le feu en première semestre puisque dans cette région, c’est le semestre et non le trimètre, mais en deuxième semestre je me suis remis au travail et l’année avait bien fini pour moi. Entre tant ma mère était partie vivre dans la capitale à cause des déménagements accélérés de mon père ce qui perturbait un peu ces affaires. Pendant les vacances je retournais chez elle pour y passer des vacances et au retour de la rentrée des classes elle me payait plein des choses dont je voulais, les choses qui n’on rien à voir avec l’école c'est-à-dire les paires de marques les protèges tibias les maillots… quand je reviens la rentré c’est une autre image. A la fin des vacances quand je retournais en classe tout est neufs sur moi. Dans la nouvelle région de papa, il n’y avait pas de lycée et je savais qu’après les brevets d’étude du premier cycle, je vais encore déménager pour allé continuer mes étude ailleurs. Cette dernière année allais être la meilleure et la pire de toute ma vie. L’année était commencer comme tout autre année et vers la fin du premier trimètre, le Ministère de la Jeunesse et des Sport organisait un tournoi inter école sur toute l’étendu du territoire togolais. La bonne nouvelle c’est que je trouve une bonne occasion de joueur du football et la mauvaise nouvelle c’est que je suis dans une classe d’examen. Au début le Directeur de notre collège ne voulais pas faire jouer les élèves de la classe de troisième sous prétexte qu’ils préparent un examen. Quand il a donné cette information je devenais très furieux contre tout le corps enseignant de l’établissement, je faisais de porte a porte pour lui faire venir sur sa décision je suis même parti voir le président des parents d’élèves et le professeur titulaire qui s’occupe des épreuves physique et par chance mon effort n’a pas été veine. Il revient sur sa décision et permet à ce que la sélection s’étant sur toutes les classes. Les interclasses étaient en cour et c’était très facile de faire la sélection : il suffit seulement de voir les matchs pour sélectionner les meilleurs joueurs. Il est très difficile de se dire : je suis doué mais moi j’en étais quand il s’agit de jouer le ballon. J’étais le premier sélectionné, pas par ce que j’ai milité pour qu’on sélectionne dans notre classe mais par ce que je suis la star du moment .j’étais l’une des personnes que les gens venaient voir jouer au ballon. Mais après mes début a l’âge de six ans mon père ne ma plus jamais vue jouer au ballon. Alors je me disais que c’était le moment de lui montrer en quel point je suis devenu un grand joueur. Ce tournoi je voulais le joué pour lui faire plaisir et le remercié de tout ce qu’il fait pour moi. Aussitôt commence les entrainements ; je fus nommé capitaine de la sélection et ce titre je le méritais très bien. Après deux semaines d’entrainement, le tournoi fut lancé dans notre zone ; c’est d’abord un tournoi zonal on prend le vainqueur de chaque zone et on en fait une poule pour en joué la régionale et ainsi de suite. Le match d’ouverture fut joué le onze janvier de l’année en cours, et nous on jouait notre premier match le quinze du même moi et avec quel équipe ? L’équipe de mon ancien collège c’est pour moi un match de retrouvailles. Comme il venait de commencer, notre collège a envoyé une délégation au match d’ouverture pour voir comment sa se passe et en faire la préparation en conséquence de cause. Je fus envoyé avec le vice capitaine qui n’est autre que mon propre oncle qui vivait à l’époque chez mon père il fut un excellent défenseur. Lui et moi étions partis voir les cérémonies d’ouverture et le premier match. Le niveau était très élevé et de retour le lendemain matin pendant qu’on était au mat, le Directeur me demanda comment les choses se sont passées et j’ai fais le compte rendu devant tout l’établissement. Le soir on retournait à l’entrainement et j’expliquais à mes coéquipiers comment les choses se sont passées au match d’ouverture. Le Directeur de notre collège était un fanatique du football la veille du match c'est-à-dire le mardi quatorze il n y avait pas cours dans l’établissement il faisait de ce match un événement a part. Tout le monde devait partir regarder le match sous peine de punition alors le mardi c’est pour se préparer pour le grand jour puisqu’on devait faire le déplacement. Au regroupement la veille, On dormait tous ensemble, on s’amusait, on bavardait, on parlait de tout et de rien. On était gonflé a bloque. J’étais impatient, je ne suis presque pas dormi la nuit néanmoins j’ai fermé les yeux quelques heures. Le lendemain matin à cinq heures du mat tout le monde se réveille pour le dégraissage.

Le matin du jour du match à l’entrainement…

On était tous habillés en Nike complet l’école avait mit les moyens pour que la partie soit agréable. On devait faire une distance de vingt kilomètres pour arriver au lieu du match. A six heures quarante cinq minute commence à venir dans la cour de l’école les supporteurs tout l’établissement devait venir regarder le match, les appels se faisait une fois a la descente sur le terrain ou on devait jouer ainsi a partir de neuf heure les bus étaient déjà la et les premières personnes commençaient à rallier le terrain pour attendre les joueurs qui étaient attendu a quatorze heure.

Apres le dégraissage ont était revenu dans la cours de l’école pour recevoir les encouragements de tout le monde c’était vraiment géniale. Je faisais vraiment ce que j’avais tant voulu faire. J’étais l’homme le plus heureux du moment moi qui était inconscient sur un terrain il y avait de cela des années est devenu capitaine d’une équipe de tout un établissement ? J’étais fier de moi-même. Les bus faisaient les allers et retours les supporteurs partaient petit à petit et nous on attendait treize heures quarante pour partir. Il était treize heure et presque tout le collège était déjà au lieu du match sauf les joueurs, en tant que capitaine je demandais a mes coéquipiers de se préparer car le bus ne devait pas tarder à venir. Il était quatorze heures et le bus ne venait pas. Ont avaient match à quinze heures trente minutes tout le monde était déjà au terrain, je devenais furieux, même mes coéquipiers. mais en tant que capitaine je garda mon sang froids, trente minutes après toujours zéro alors je demandais a mes coéquipiers de commencer a s’habiller, mais pendant tout ce temps je réfléchissais si on n’y va pas on nous gagnait sur tapi vert alors je décidais de prendre mes responsabilités et au moment j’envoyais le vice capitaine aller chercher un autre bus, apparait enfin notre bus avec une excuse bidon en disant que le bus était tombé en panne et il a fait de son mieux pour être la on devais plutôt le remercié. Le plus important c’était qu’il soit la et le reste on verra après. Dans la précipitation ont rentraient dans le bus on était concentré et on parlait de tout et de rien tout a coup le ciel s’est assombri et commence une pluie, une pluie très grande, le chauffeur roulait a vive allure pour qu’on arrive plus tôt et quelque minutes après la pluie s’arrêtait. On était arrivé sur le terrain du match tout le monde étaient présent y compris mon père on avait accusé le retard mais heureusement on c’était habillés déjà dans le bus et aussitôt arriver on se rendit sur le terrain pour les échauffements, il n’y avait plus de temps à perdre. Jai pas eu beaucoup de temps pour les échauffements puisque en même temps il faut que je supervise le remplissage de la feuille de match et trouver une explication valable sous peine d’une sanction. Tout a été dans la précipitation et quelque minutes après tout a été en ordre et il fallait commencer le match. Le match fut débuté sous une grande tension, l’agressivité était de taille, il y avait des applaudissaient a chaque fois que j’ai le ballon c’était mon temple c’est là que j’ai connu des bons moments du football. Le match se déroulais a cinq minutes après le coup d’envoi, je prenais le ballon dans le rond central et je décalais le latéral droit sur le coté il faisais le control et me passe le ballon au moment ou je voulais frappé le ballon, le défenseur sorti sur moi et j’ai passé le ballon a mon coéquipier qui jouait l’attaque avec moi ;il contrôla le ballon et au moment ou il voulais marqué, il fut fauché dans la surface de réparation ; l’arbitre indique le coup de pieds de réparation(penalty) mon coéquipier voulais faire justice lui-même il prend le ballon ,le place, recule, respira et tire, le gardien toucha un peu le ballon mais il na pas réussit a le dévié de sa trajectoire un but a zéro le match fut monté d’intensité. Trois minute plus tard sur un coup de pieds de coin(corner),notre défenseur en voulant mètre le ballon dehors sur la ligne de but ,il prenait son propre gardien a contre pieds et marque dans son propre goal. Un but partout le match fut relancé encore mais il n’y a plus d’occasion franche jusqu'à la fin de premier mi temps. A la pause mon père est venu m’encouragé et me demande de marqué un but pour lui si possible et je lui ai répondus : papa je marquerai un but pout toi pour tout ce que tu as fais pour moi. A la reprise le match sur le même rythme j’avais pour mission personnel marqué un but pour mon père ;les occases se multipliaient de part et d’autre jusqu'à la soixante dixième minute ou sur un dégagement de notre gardien le ballon arrive dans la défense adverse, le défenseur adverse était sur de lui et malgré que j’étais a coté de lui voulais amortir le ballon de la poitrine ; au moment ou le ballon allais atterrir sur sa poitrine ,je le dévia avec la tête sur le coté et je courais vers les buts pour marquer, le défenseur voulait me taclé mais rata son tache et son pieds atterri sur le rotule de mon genou. Je me suis couché sur le terrain, tout le public avait peu du pire, mais ce jour la l’arbitre lui n’avait rien vue. Il ne sifflait rien et laissait le jeu se continuer pendant un temps avant de se rende compte qu’il y avait un individu au sol. Il arrêta la parti momentanément et couru vers moi pour voir comment sa se passait et pourquoi j’étais encore au sol et soudain il aperçut mon pied qui était tourné sur le coté et c’est là il a vu la gravité de ma blessure du coup il appela les soigneurs sur le terrain quand eux même aperçurent mon pieds, ils eux peur et recula un peu avant de voir de près. C’était douloureux et ils avaient peur comme sa durait un peu l’arbitre demande a ce qu’on me sort sur le terrain pour que le match reprenne et ils me sortirent. Je pleurais très fort et comme je ne retournais pas vite sur le terrain, le directeur de notre collège se leva de la tribune d’honneur et venu voir ce qui n’allait pas puisque j’étais la star de l’équipe. Quand il vient moi-même j’avais déjà remis le pied à sa place et il na rien vu de très grave. Il retourna à la tribune pour suivre la fin du match, quand mon père lui demande ce qui n’allait pas ? Il répondit a mon père : ce n’était rien de grave il va y retourner et mon père lui dit : c’est faut si ce n’était pas grave il y a longtemps il serait sur le terrain. Quelque chose de mal lui est arriver il faut qu’on l’amène plus vite a l’hôpital, mais le directeur ne croyait pas mon père alors il lui dit : bon je vais moi-même envoyé mon fils a l’hôpital et c’est la qu’ils comprit que quelque chose de grave m’était arriver je ne pouvais plus finir le match je pleurais dehors alors mon père dit a ses collègues : mon fils a un fracture si non il se serait retourner joué alors notre directeur revenait voir les soigneurs qui se sont occupé de moi et leur demandait ce qui se serait passé et c’est la on lui disait qu’il est probable que j’ai eu une fracture de rotule. Alors il comprenait les inquiétudes de mon père et immédiatement, mon père, le directeur et le corps médical m’accompagnèrent à l’hôpital régional de Tsévié. Une fois arriver a l’hôpital, il faisait tard et je ne pouvais pas passer la radiographie ils ont suggérés me donner quelque calmât, m’hospitaliser et s’occuper de moi le lendemain matin. Quand je rentré dans ma chambre, il y avait un malade qui était dans la même chambre ; cet homme avait un bras coupé et la blessure était encore nouvelle. Des que j’ai vu ce monsieur, ma douleur fut calmée et ce que je voulais c’est de rentrer chez nous à la maison. Entre temps mon père et le directeur étaient partis chercher les médocs qu’on nous avait prescrits. J’étais sur le premier étage et on m’avait porté pour arriver la mais je ne pouvais pas faire une minute de plus avec le manchot qui était dans la pièce. Je me suis battu pour descendre en bas et attendre mes parents une fois de retour de la pharmacie je les ai demandé qu’on rentre chez nous car je n’avais plus envi de rester une minute de plus, je craignais qu’il m’arriverait la même chose et mon père me connaissant très bien a simplement demander qu’on rentre à la maison. Notre directeur n’en revenait pas il demandait a mon père s’il a toujours fait ce que je voulais et mon père avec un sourire lui a dit : presque enfin c’est de sa nature il est mentalement fort et sa l’aidera à réussir dans la vie il se bat contre toute chose qui ne lui plait pas. Apres quelque minutes nous rentrâmes à la maison mais la nuit a été très longue le pied continua a emmflé et a cause de la douleur j’avais du mal à dormir. Mais je ne pouvais pas blâmer qui que se soit pour sa c’était de ma faut et j’en assumais mes responsabilités. Le lendemain matin, nous retournons à l’hôpital pour faire les radios et voir ce qui c’’était réellement passé. Une fois la radio faite, le docteur nous annonçait que la rotule a été fendu en deux et qu’il faut qu’on me mette la plâtre qui selon la gravité de la blessure peut faire plus d’un moi. Je n’étais pas du même avis un moi après ! Et bien le tournoi se serait terminé si on ne se qualifiait pas alors j’avais trouvé une idée qui est de se faire traiter par les herboristes qui si j’en crois à leur version je serai complètement guéri en moins de deux semaines main mon père et la direction de notre établissement n’étaient pas d’accord et voulais qu’on me met la plate a tous les coups alors c’était devenu un bras de fer entre la direction mon père et moi. Au début le vieux voulait que sa se fasse dans la discrétion totale que la maman ne devait pas être au courant mais à ce stade elle est la seule chance pour eux de pouvoir me raisonner. Toute la journée de jeudi on na pas réussit à trouver un compromit du coup dans l’après midi, mon père s’est rendu a la capital ou habitait ma mère pour lui annoncer la nouvelle et lui demander de venir me raisonner. Ma mère était furieuse du fait qu’on ne lui a rien dit plutôt mais le même soir elle arriva avec mon père. Une fois arrivée elle faisait tout son possible pour me convaincre mais hélas ! Finalement elle trouva la formule magique et elle me dit : si j’accepte de t’envoyer chez l’herboriste qui est sans qualification pour te traiter et que par malheur sa ne réussit pas et on te di que je ne pourrais plus jouer au football que feras tu? C’est la elle m’a convaincu… je n’avais plus grand-chose a dire que d’accepter tout en posant une condition qui est de ne pas se faire plâtrer dans cet hôpital, je voulais qu’on amène au CHU et sa na pas été difficile le lendemain matin nous sommes parti à la capitale mon père, ma mère et moi. J’ai encore passé cette journée de vendredi dans la douleur. Arriver en ville mon père voulais qu’on aille au CHU pour en finir une fois de bon mais j’avais refusé je leur ai dit que j’étais fatigué et qu’il fallait que je me repose un peu. Le samedi c’est le grand jour je ne suis presque pas dormi la nuit. Très tôt j’ai pris une douche ma mère et ma sœur cette fois allais m’accompagné ; mon père n’a pas assez de courage pour voir ça. Nous nous rendirent au CHU et après avoir consulté la radio faite au par avant il on dit a la vielle que c’est sans doute la plâtre et elle a répondu : faite ce que vous pouvez pourvue qu’il aille mieux. Je me rendis seul au bloc avec les docteurs et il me l’on mit. Quand ils faisaient la plâtre un d’entre eux ma demander depuis quand je m’étais blessé et quand je lui ai dit que c’était le mercredi ils n’en revenaient pas et me disait j’étais très courageux pour supporter cette douleur pendant quatre jours. Une fois c’est fait on n’est retournés à la maison et quand mon père a vu le pied, il s’est mit a pleurer et avait de la pitié pour moi. Mais le mal était déjà fait. J’étais très fort moralement et quoi qui se passe j’avais une attitude positif en toutes chose. Je croyais en moi et a ce que je faisais et je mettais du cœur dans toute chose. Le lendemain matin, mon père et moi revenions dans la région ou on habitait puisque malgré tout j’étais en classe d’examen et il fallait que je bosse dure pour obtenir mon brevet d’étude de premier cycle. Le lundi matin la direction de notre établissement envoyait une voiture pour venir me chercher à ma demande personnelle pour que je puise suivre les cours ; après tout je suis un capitaine et il faut qu’on me traite avec un peu de respect. Quand j’arrivais à l’école, toute l’école était très contente de me revoir et il fallait être la le jour la pour voir l’accueil qui m’a été réservé. Un instant après je suis rentré en classe pour suivre le cours mais comme le pied était emmflé avant qu’on ne me fasse la plâtre, j’avais une petite douleur et pendant la récréation, je suis rentré chez moi pour me reposer un peu. Contre toute attente , a midi pendant que moi je me reposais dehors avec mon meilleur ami, j’attendis le bru d’une foule sur la route je me suis dis que ce sont les élèves qui rentraient à la maison mais j’ignorais complètement que cette foule se dirigeait vers chez moi, car selon les ont dit, quand je serai rentré pendant la récréation le directeur a fait passé un communiqué dans toutes les classes pour qu’on passe me remonté le moral après ce que j’ai fais pour toute l’équipe et mon statut de capitaine ; je ne m’attendais pas a cela a vrai dire j’étais ému les larmes aux yeux quand j’apercevais les camarades de classe et les professeur rentrer chez moi en fil indien. Et ce qui est étonnant, ils ne venaient pas les mains vide ils avaient quelque choses pour me réconforter des billets des pièces d’argent chacun selon ces moyens. Ils avaient beaucoup cotisés pour moi. Imaginer tout une école cotisée cinq cent francs chacun mais d’aucun on donné plus de cinq cent francs ils avaient fait de leur mieux et ce jour la j’étais la à recevoir les camarades plus de deux heure de temps. Et après qu’ils se sont parti, et quand mon ami et moi faisons le compte j’avais plein d’argent, énormément d’argent mais désolé je ne peux pas dévoiler la somme exacte pour vous. J’étais très content pour la considération dont toutes l’école m’honoraires. Le lendemain matin je suis retourné au cours et au rassemblement j’ai essayé de remercier tout ceux qui ont pensées a moi et sont venue me voir et ceux qui voulaient mais non pas eux le temps nécessaire pour le faire et toute l’école était contente de moi. Et pour la petit blague pendant la recréation je ne pouvais pas sortir pour allé loin et pendant que je profitais pour dormir un peu mes ami sont venu et on volé ma cane avec laquelle je marchais il a fallut que j’aille a la direction pour qu’ils me la remettre et sa j’allais faire la même chose si c’était une autre personne qui était dans cette condition. Enfin bref c’était le bonheur dans la douleur j’ai vu a quel point tout un monde m’admirait et le plus marrant c’est que même les élèves du cours primaire sont venus me rendre visite y compris ceux qui ne vont même pas a l’école j’étais une icône en quelque sorte la star de son époque. Au début je supportais pas mal cette plâtre jusqu'à notre deuxième match ou on devait recevoir à domicile et c’était le mercredi qui a suivi mon accident pendant tout ce temps j’allais au entrainement pour encourager mes coéquipiers et ce jour la j’ai pleuré devant tout le monde. Tout a commencé par un but qu’on avait loupé j’était assis a coté des autorités de la région on suivait le match ensemble quand tout a coup on nous accorda un penalty et le joueur en charge de le tiré a complètement raté le cadre, aussi étonnante que cela pourrait paraitre, je me sui mis à pleurer devant toutes les autorités de la région c’est en ce moment qu’ils ont compris mon amour pour le football ils ont essayer de me consolé mais peu de tps après on n’a marqué un but et je me suis consolé. Vers la fin de la partie, le but a été égalisé et on n’a seulement empoché un point au lieu de trois. J’étais fou de rage, tout le monde étaient coupable de mon malheur a mon avis ; je cherchais un coupable mais enfin de compte il y en avait pas. Toute la nuit je me suis apitoyé sur mon sort mais le lendemain matin je commence à me dire que cela ne peu pas être comme ça et il faut que je me sorte de ce pétrin. J’ai pris toute la journée du jeudi à réfléchir a ce que je pourrais faire pour remédier a cela en vingt, le vendredi la même chose alors je me suis rendu au entrainement pour voir comment évolue les choses pour en être très sur mais j’ai pas été satisfais. Je voyais une faille a ma place mon remplaçant ne remplissait pas très bien son obligation pour moi. J’oubliais que tout le monde ne pouvais pas jouer comment moi je l’expert en même temps j’avais une folle envie de retourner prendre une chaussure, rentrer sur le terrain et montrer au gens comment je voulais que les choses se passent. Je vivais du jour au jour des cauchemars et je me suis dis que peut être le lendemain j’aurai une superbe idée. Le samedi matin arriva un jour qui ne sera pas comme les autre, au petit matin, je ne savais pas encore la merde que j’allais commettre une sorte d’irréparable. Depuis ma blessure, j’avais mon meilleur ami qui vivait avec moi pour me soutenir et m’accompagner, mais ce jour la, lui et moi on était entraient de causer quand tout à coup je me suis dis : mais si je marche avec les plâtre je pourrais marcher sans aussi non, mais mon ami ne me laisserai pas enlevé la plâtre alors sans réfléchir je l’ai envoyé m’acheté a manger et profité pour passer un message a mon petit ami de l’époque. Quand il parti, je cherchais un ciseau un marteau piqueur et une lame pour faire du dégât. Aussitôt parti il fallait que je fasse très vite pour qu’il ne vienne pas me stopper ; je suis rentré dans la douche avec les matériaux d’abord j’ai utiliser le marteau pour le taper très fort pour lui donner un aspect cassé, la déchirée avec la lame et ensuite la coupée avec le ciseau alors très rapidement je me suit mis au travail et avant qu’il ne revienne j’ai déjà enlevé la plâtre et j’était un peu bête à l’époque je me suis mis sur le pieds immédiatement et voulais marcher et tout d’un coup je suis tombé par terre et c’est en ce moment que je me suis rendu compte de la gravité de l’erreur que je venais de commettre. La douleur devenait très dense, j’avais du mal a marché mais en même temps il faut se montrer très fort et supporter cette douleur enfin ce n’est pas quelqu’un qui me la demander. Je suis rentre dans la salle de bain difficilement en ce moment mon ami était de retour et a compris le pourquoi je l’avais envoyé très loin de moi il avait eu peu car c’était en quelque sorte la personne qui est chargée de veiller sur moi du coup il a jugé bon de retourner chez lui pour qu’il ne soit pas responsable de ce merdier. Apres la douche je me suis rendu dans ma chambre et pris le baume saint Bernard que tout le monde connait et j’ai essayé de faire un petit massage puisque la douleur était encore danse et j’ai bandé la parti touché et puis je me suis couché. Sur le lit je me demande comment j’allais répondre quand on me demandera ce qui c’était passé ou pourquoi je l’ai enlevé ? Pendant que tout cogitait dans ma tête, mon maitre du cours moyen deuxième année a apprit la nouvelle et a fait le déplacement pour venir me voir puisqu’il fait parti de mes FANS du football et est l’un des personnes qui voulaient me voir réussir dans le football. J’étais dans ma chambre et mon père était la lui aussi, il faisait la sieste dans sa chambre il ne doutait de rien. Quand le monsieur était arrivé j’avais écouté sa voix puisqu’il ma appelé par un vieux surnom dont j’ignorais celui qui me la donné il ma appelé « tchocotchoco ». Aussitôt arriver mon oncle qui vivait a l’époque avec nous allait le réveillé mais lui aussi ignorait ce que j’avais fais. Quand mon père arriva tous les deux on commencés a causer de tout et de rien il se connaissait depuis longtemps pendant tout ce temps j’étais dans ma chambre et je n’arrivais pas a dormir pas parce que j’avais mal mais parce que je voulais écouter leur conversation. Apres quelque minutes de conversation, il demande a mon père comment c’était arrivée ma blessure et mon lui a expliqué et après il demande a mon père ou es que je me trouve en ce moment mon père lui a di que surement dans ma chambre alors il a dit a mon père de l’excuser un instant il va aller me voir et quand j’ai attendu cela j’ai fais semblant de dormir en fermant les yeux. Quand il arrivait dans la chambre il touchait mon, pied gauche il na rien trouvé il était étonné il retouche le pied droit RAS il demanda a mon père a haute voix : Quelle partie du pied ils ont mi la plâtre ?? Mon père lui répond : le pied gauche ! Il dit : il n’y a rien sur son pied gauche ni le droit ? Mon père lui répond : je vois il l’a enlevé je savais qu’il allait le faire. Mon professeur me réveilla et me demandait ce qui c’était passé je lui ai répondu que je l’ai enlevé il me demande pourquoi je lui ai dis simplement que je ne sais pas cela me dérangeais. Et mon père lui a dit reviens laisse le je savais qu’il allait l’enlevé mais pas si tôt. Mon maitre n’en revenait pas il savait que j’allais le faire mais pas si tôt, Mais oui je l’ai fais c’est comme ça que je. Je fais souvent ce que je veux faire et quand je prends une décision il est très difficile voir impossible de me faire changer d’avis. Je suis ce que les gens appel les personnes têtus.