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User:Eurodog/sandbox424

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Yves & Barret (active c. 1870–1890) was a Paris engraving firm founded by André Yves & Amédée Barret.[1] Barret was also an inventor of a phototypographic reproduction process. Barret was the namesake of Jeanne Barret (aka Jeanne Baret), a poster artist born in La Comelle, France, and who died in Saint-Aulaye, France. He mainly worked during the modern period.

Different article

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Français : La technique du livre illustré moderne

          Empire. Les éditeurs Lemerre et Jouaust l’adoptèrent pour leurs collections illustrées. En 1868, Lemerre avait fondé la Petite Bibliothèque littéraire ; de son côté, Jouaust créait successivement : la Collection Bijou (1872-1879), 10 volumes in-16; la Petite Bibliothèque artistique (1872-1891, 110 volumes); la Bibliothèque artistique moderne (1883-1891) 17 volumes. Les divers ouvrages qui composent ces collections (textes anciens, modernes et contemporains) sont ornés d’illustrations auxquelles collaborèrent les principaux aquafortistes de l’époque : Boilvin, Buhot, Rops, Champollion, L. Flameng, Bédouin, Laguillermie, Lalauze, Le Rat, etc.

          Mentionnons à part, en raison de leur importance, la belle illustration du Molière de Louis Leloir, gravé par L. Flameng et Champollion (Jouaust, 1876-1883), les Saints Évangiles (Hachette, 1873), illustrés de 128 planches de Bida, magistralement gravées par Bida, Bodmer, Bracquemond, Chaplin, L. Flameng, Gaucherel, Massard, Mouilleron, etc.; André Chénier (Charpentier, 1888), illustré de quinze compositions de Bida, gravées à l’eau-forte par Courtry, Champollion et Monziès; enfin les publications de la librairie de l’Édition nationale de Victor Hugo, auxquels s’employèrent tous les illustrateurs, peintres et graveurs notoires contemporains, et le Molière de Jacques Léman et de Maurice Leloir, gravé par Courtry, Géry-Bichard, etc. (Lemonnyer-Testard, 1882-1896).

          Arrivée à ce degré de perfection, l’eau-forte pouvait rivaliser avec le burin dans l’interprétation des grandes œuvres de la peinture. En dehors de ces collections entièrement illustrées par l’eau-forte ou la gravure sur acier, nombreux furent les ouvrages d’histoire et de littérature, publiés avec un portrait original de l’auteur, gravé en frontispice ; on apportait ainsi à ces ouvrages, à peu de frais, une contribution artistique qui en augmentait la valeur, et il est regrettable que l’usage s’en soit perdu.

          Rappelons que c’est à partir de cette époque, de 1872 à 1880, que s’établit l’usage de tirer à part les suites d’eaux-fortes sur différents papiers et en divers états, qui sont aujourd’hui recherchées par les amateurs. Plus tard, on tirera également des suites très appréciées de gravures sur bois, sur Chine ou sur Japon, avec ou sans remarques.

          La lithographie inventée par Senefelder en 1798, importée en France par G. Engelmann et le comte de Lasteyrie (1815–1816), perfectionnée par Motte et Lemercier, n’a pu se faire accepter, môme en hors-texte, dans l’illustration du Livre, sauf dans une œuvre monumentale : les Voyages-pittoresques et romantiques dans P ancienne France, par Charles Nodier, J. Taylor et A. de Caillaux, publiés chez Didot (1820-1878) en 20 volumes in-folio avec 2936 planches hors texte. Elle a donné des albums intéressants soit de charges et de caricatures, soit de scènes militaires, que seule elle pouvait produire : tels les Métamorphoses du jour, de Grandville (1829) et les innombrables sujets signés par Vernet, Raffet, Chariot, Deveria, Bellanger, Gavarni, Daumier, lithographes qui dispersèrent leur talent dans des journaux ou des feuilles volantes, auxquelles on n’attachait pas d’importance parce qu’on les vendait très bon marché. Ces lithographies valent aujourd’hui fort cher, soit séparément, soit réunies en albums, et constituent une illustration documentaire très intéressante.


          À la lithographie est venue s’ajouter la chromolithographie, procédé à l’aide duquel Curmer a fait reproduire, avec beaucoup d’art, des manuscrits anciens et des miniatures. Ce procédé a été utilisé également, un peu plus tard, dans les publications du bibliophile Jacob (Paul Lacroix) sur le Moyen Âge, la Renaissance, le dix-septième, le dix-huitième siècle et l’Empire, parues chez Firmin-Didot, de 1868 à 1880. De nos jours, des essais intéressants de lithographie en noir et en couleurs ont été tentés ; ils sont restés dans le domaine du livre d’art ; tels sont, par exemple : Carmen, avec les lithographies en couleurs de Lunois (édition des Cent Bibliophiles, 1901), la Vie à Montmartre, de Montorgureil, avec les lithographies en noir de P. Vidal (Boudet et Tallandier, 1899) et Diane au bois, de Théodore de Banville, avec les lithographies originales en noir de Maurice Eliot (Carteret, 1911).

          Nous arrivons maintenant aux procédés mécaniques. Ces procédés n’ont pas seulement donné à l’illustration du livre usuel, du manuel de classes, des ouvrages de vulgarisation, une extension considérable ; leur valeur esthétique s’est imposée, et les éditeurs n’ont pas hésité à employer la machine pour des publications de grand luxe.

          Ces procédés sont appelés aussi photomécaniques ou photogravure, en raison du rôle important que joue la photographie dans leur exécution. Ils donnent des clichés en relief, soit d’après des dessins au trait ou sur papier procédé (gillotage), soit d’après des lavis ou des photographies directes (similigravure), ou des clichés en creux (héliogravure). Ils nécessitent l’intervention d’un retoucheur qui, au moyen du burin, de la pointe, de la roulette, met au point les clichés obtenus par les morsures d’acide, et qui sont toujours imparfaits par quelque côté.

          C’est vers 1850 que Firmin Gillot prit ses premiers brevets pour l’établissement de ses clichés en zinc, qu’il obtenait au moyen de reports de planches en taille-douce ou en lithographie. Son fils, Charles Gillot, lui succéda et perfectionna sa découverte grâce à la photographie qui permit de reproduire sur une pellicule le dessin, et de l’appliquer directement sur la plaque de zinc (1873–1874).

          En 1868, François Barret prit un brevet pour la reproduction d'un cliché en demi-teinte, obtenu par l’interposition, entre la planche à graver et la pellicule, d’une trame ou d’un réseau. Les résultats furent longtemps imparfaits. Cependant, vers 1880, quelques maisons françaises : Yves Barret, Petit, Michelet, Gillot, sortirent des clichés obtenus par ce procédé ; mais c’est à partir de 1885 que la similigravure entre dans l’impression courante et surtout à la suite de l’introduction, en France, des glaces américaines quadrillées mécaniquement (1893). Tous les procédés mécaniques peuvent servir à obtenir des images en couleurs, soit avec une seule planche gravée et un coloriage à la poupée ou au patron, soit avec une planche de noir pour le trait et des planches au grain de résine pour les couleurs (jaune, rouge, bleu, chair, gris). Ces grains sont descendus à la morsure, selon le plus ou moins d’intensité que doit donner chaque couleur dans la planche définitive, travail analogue à celui employé en lithographie et qui nécessite de la part de l’ouvrier qui l’exécute une connaissance exacte de la décomposition des couleurs et une pratique parfaite de son métier.

          Mentionnons, en terminant, la phototypie, créée par Poitevin, qui s’imprime aux encres grasses, au moyen d’une plaque de gélatine sensibilisée et insolée sous un négatif photographique retourné.

          Lorsque Alphonse de Neuville composa pour le livre de Quatrelles : A coups de fusil, publié par Charpentier en 1877, une série de dessins à la plume et au fusain, le procédé de la photogravure les reproduisit et donna aux lecteurs l’illusion de l’original, sans l’intervention du graveur. Deux ans plus tard, en 1879, l’éditeur Decaux fit paraître le Drapeau, de Jules Charlie. Les compositions hors texte, dessinées par de Neuville au fusain et à la plume, furent reproduites par le procédé Gillot.

          Ces deux ouvrages sont les premiers qui parurent imprimés en noir par ce procédé.

          Vinrent ensuite les reproductions en couleurs. Ce sont: le Petit Nab, par Saint-Juirs, 4 hors-texte en chromotypographie de Eugene Grasset (L. Baschet, 1882).

          Le Conte de l'archer, par Armand Silvestre, aquarelles de A. Poirson, imprimées dans le texte (Lahure, 1883).

          Enfin, et surtout, l'histoire des quatre fils Aymon, illustrée de compositions en couleurs par Eug. Grasset, gravées et imprimées par Gillot (Launette, 1883).

          Ce livre, considéré par les bibliophiles comme un des plus remarquables de la fin du dix-neuvième siècle, eut la rare bonne fortune d’être l’essai d’un procédé nouveau et d’atteindre, du premier coup, la perfection.

Translated

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"La technique du livre illustré moderne" ["The technique of the modern illustrated book"]

English: Empire. The publishers Alphonse Lemerre (1838–1912) and Damase Jouaust (1834–1893) adopted it for their illustrated collections. In 1868, Lemerre had founded the Petite Bibliothèque littéraire; for his part, Jouaust successively created: the Collection Bijou (1872-1879), 10 volumes in-16; the Petite Bibliothèque artistique (1872-1891, 110 volumes); the Bibliothèque artistique moderne (1883-1891) 17 volumes. The various works that make up these collections (old, modern and contemporary texts) are decorated with illustrations to which the main etchers of the time collaborated: Boilvin, Buhot, Rops, Champollion, L. Flameng, Bédouin, Laguillermie, Lalauze, Le Rat, etc. Let us mention separately, because of their importance, the beautiful illustration of Louis Leloir’s Molière, engraved by L. Flameng and Champollion (Jouaust, 1876–1883), the Saints Évangiles (Hachette, 1873), illustrated with 128 plates by Bida, masterfully engraved by Bida, Bodmer, Bracquemond, Chaplin, L. Flameng, Gaucherel, Massard, Mouilleron, etc.; André Chénier (Charpentier, 1888), illustrated with fifteen compositions by Bida, etched by Courtry, Champollion and Monziès; finally the publications of the bookstore of the Édition nationale de Victor Hugo, to which all the contemporary illustrators, painters and engravers worked, and the Molière of Jacques-Edmond Leman (1829–1889) and Maurice Leloir (1853–1940), engraved by Courtry, Géry-Bichard, etc. (Lemonnyer-Testard, 1882–1896).

Having reached this level of perfection, etching could compete with the burin in the interpretation of great works of painting. Apart from these collections entirely illustrated by etching or steel engraving, many works of history and literature were published with an original portrait of the author, engraved as a frontispiece; these works were thus given, at little cost, an artistic contribution that increased their value, and it is regrettable that the practice has been lost.

Let us recall that it was from this period, from 1872 to 1880, that the practice of printing off-sets of etchings on different papers and in various states was established, which are today sought after by enthusiasts. Later, highly appreciated sets of woodcuts, on China or Japan, with or without remarks, were also printed.

The lithography invented in 1798 by Alois Senefelder (1771–1834), imported into France by Godefroy Engelmann (1788–1839) and the Count of Lasteyrie (1815–1816), perfected by Charles Motte (1784–1836) and Joseph-Rose Lemercier (1803–1887), could not be accepted, even outside the text, in the illustration of the Book, except in one monumental work: Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France, by Charles Nodier (1780–1844), Justin Taylor and Alphonse de Cailleux (1788–1876), published by Didot (1820–1878) in 20 folio volumes with 2936 plates outside the text. She produced interesting albums of charges and caricatures, or of military scenes, which only she could produce: such as the Metamorphoses of the day, by Grandville (1829) and the innumerable subjects signed by Vernet, Raffet, Chariot, Deveria, Bellanger, Gavarni, Daumier, lithographers who dispersed their talent in newspapers or loose sheets, to which no importance was attached because they were sold very cheaply. These lithographs are worth a lot today, either separately or collected in albums, and constitute a very interesting documentary illustration.

Main Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France


Lithography was joined by chromolithography, a process with which Henri Léon Curmer (1801–1870) Wikidata Q3270860 reproduced ancient manuscripts and miniatures with great skill. This process was also used, a little later, in the publications of

    1. Le bibliophile Jacob (Paul Lacroix), about the Middle Ages, the Renaissance, the 17th and the 18th centuries; and,
    2. L’Empire, published by Firmin-Didot, from 1868 to 1880.
    3. Précis de l'histoire de L'Empire ; Depuis son origine jusqu'à nos jours ; Avec une introduction [Outline of the History of the Empire; From Its Origin to the Present Day; With an Introduction]. Firmin-Didot.
      1. Vol. 1 (tome primier) (British Library). 1824.
      2. Vol. 2 (tome second) (BML). 1822.
      3. Vol. 3 (tome troisième) (British Library). 1824.

In our time, interesting attempts at lithography in black and in color have been attempted; they have remained in the domain of the art book; such are, for example:

    1. Mérimée, Prosper (1803–1870) (1901). Carmen. Color lithographs of illustrations by Alexandre Lunois (1863–1916). Introduction by Maurice Tourneux (1849–1917). Société de bibliophiles, P., Les Cent Bibliophiles.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link) Free access icon OCLC 270948665 (all editions), OCLC 10039913 (all editions).
    2. La Vie à Montmartre [Life in Montmartre], by Georges Montorgueil (pseudonym of Octave Lebesgue; 1887–1953), with the black lithographs of Louis-Pierre Vidal 1899)
    3. Diane au bois, by Théodore de Banville (1823–1891), with the original black lithographs of Maurice Eliot (1862–1945) (Carteret, 1911).



We now come to mechanical processes. These processes have not only given a considerable extension to the illustration of the usual book, the school textbook, and popular works; their aesthetic value has become established, and publishers have not hesitated to use the machine for luxury publications.

These processes are also called photomechanical or photoengraving, because of the important role that photography plays in their execution. They produce relief prints, either from line drawings or on process paper (gillotage), or from washes or direct photographs (halftone engraving), or from intaglio prints (heliogravure). They require the intervention of a retoucher who, using a burin, a point, or a roulette, develops the prints obtained by acid bites, and which are always imperfect on some side.

It was around 1850 that Firmin Gillot (1819–1872) took out his first patents for the establishment of his zinc prints, which he obtained by transferring plates in intaglio or lithography. His son, Charles Gillot, succeeded him and perfected his discovery thanks to photography which made it possible to reproduce the drawing on film and apply it directly to the zinc plate (1873–1874).

In 1868, François Barret took out a patent for the reproduction of a halftone plate, obtained by interposing a screen or grid between the engraving plate and the film. The results were imperfect for a long time. However, around 1880, a few French companies: Yves Barret, Petit, Michelet, Gillot, produced plates obtained by this process; but it was from 1885 that halftone printing entered common printing, especially following the introduction in France of mechanically squared American mirrors (1893). All mechanical processes can be used to obtain color images, either with a single engraved plate and coloring with a doll or pattern, or with a black plate for the line and resin grain plates for the colors (yellow, red, blue, flesh, gray). These grains are brought down to the bite, according to the more or less intensity that each color must give in the final plate, work similar to that used in lithography and which requires on the part of the worker who performs it an exact knowledge of the decomposition of colors and a perfect practice of his trade.

Let us mention, in closing, the phototype, created by Alphonse Louis Poitevin (1819–1882), which is printed with oily inks, by means of a sensitized gelatin plate and exposed under a reversed photographic negative.

When Alphonse de Neuville (1835–1885) composed for the book of Quatrelles: A coups de fusil, published by Charpentier (1826–1893) in 1877, a series of drawings in pen and charcoal, the process of photoengraving reproduced them and gave readers the illusion of the original, without the intervention of the engraver. Two years later, in 1879, the publishers – Georges Decaux (1845–1914), éditeur & Maurice Dreyfous (1843–1918), éditeur – published Le Drapeau, by Jules Arsène Arnaud Claretie (1840–1913). The compositions outside the text, drawn by de Neuville in charcoal and pen, were reproduced by the Gillot process.

These two works are the first to appear printed in black using this process.

Then came the reproductions in color. These are:

    1. Saint-Juirs (pseudonym of Louis René Delorme; 1848–1890) (1882). Le Petit Nab ("Nab" is a black cat). Illustrated with 4 color chromolithographs (chromotypographic) outside the text and black drawings in the text by Eugène Grasset (1845–1917). Paris: Librairie d'art. Ludovic Baschet (1834–1909), Éditeur. 125, boulevard Saint-Germain – via BnF, Gallica.{{cite book}}: CS1 maint: multiple names: authors list (link) CS1 maint: numeric names: authors list (link) Retrieved October 23, 2024. OCLC 1243905807 (all editions) and 1143106466.
      1. Via BnF (Gallica). Free access icon
      2. Via BnF (Gallica). Free access icon
    2. Silvestre, Armand (1837–1891) (1883). Le conte de l'archer [The Archer's Tale]. Watercolors by Victor-Armand Poirson (1858–1893). Lahure.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link) Retrieved October 23, 2024.
      1. Via Google Books (Library of Catalonia). Free access icon

Translated (part 3)

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Finally, and above all:

    1. Grasset, Eugène (1845–1917) (1883). Histoire des quatre fils Aymon : très nobles et très vaillans [Story of the Four Sons of Aymona: Very Noble and Very Valiant]. Illustrated with compositions in color by Eugène Grasset, engraved and printed by Charles Gillot. Introduction and notes by Charles Marcilly. Paris: H[enri] Launette et Cⁱᵉ, éditeur. 22, rue de Vaugirard (Henri Launette; 1845–1894).{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link) Retrieved October 23, 2024. Free access icon LCCN 10-11019; OCLC 863660992 (all editions).
      1. BnF (Gallica). Free access icon
      2. BnF (Gallica). Free access icon
      3. Via Google Books (Cornell). Free access icon
Édition Ch. Marcilly, Paris, Garnier

First edition with these illustrations, adapted from a 1737 text of the Renaut de Montauban. There is an introduction and notes by Charles Marcilly. The printer Gillot commissioned Grasset to make some 900 watercolor separations for the multi-colored decorations, producing using advanced photolithographic techniques. Grasset's adaptation of medieval motifs from various traditions, along with his development of "all-over" page design, was influential for book illustration.

Though the justification page cites this "de luxe" edition as limited to 200 numbered copies, this copy, from the second 100 on China paper, is not numbered.

Literary illustrations. First edition with these illustrations, adapted from a 1737 text of the Renaut de Montauban. There is an introduction and notes by Charles Marcilly. The printer Gillot commissioned Grasset to make some 900 watercolor separations for the multi-colored decorations, producing using advanced photolithographic techniques. Grasset's adaptation of medieval motifs from various traditions, along with his development of "all-over" page design, was influential for book illustration.

Though the justification page cites this "de luxe" edition as limited to 200 numbered copies, this copy, from the second 100 on China paper, is not numbered.


This book, considered by bibliophiles to be one of the most remarkable of the end of the nineteenth century, had the rare good fortune to be the test of a new process and to achieve perfection at the first attempt.[2]

  •           1. See Annex, pp 162–166, in Boivin's book, for the list of the main works illustrated by mechanical processes, published from 1885 to 1917.

Obituary

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H. Launette. — Le nom de Launette, créateur de la Librairie artistique, d’où sont sortis tant de beaux livres, est connu de tous les bibliophiles et d’un grand nombre d’artistes ou d’écrivains qui se sont associés à son œuvre. Launette, que la mort vient d'enlever dans sa quarante-neuvième année, après plus de trois ans de souffrances qu’il eut à supporter à la suite d’une attaque subite d’une paralysie inguérissable, était un enfant de ses œuvres.

Par sa seule volonté, il s’engagea comme novice à l’âge de dix-sept ans dans la Marine de l’État ; il fit de grands voyages, et prit part, après ses premières explorations, a la Campagne du Tonkin, oui il était matelot sur un navire canonnier naviguant sur les fleuves. Avec son ardeur de la vie d’aventures, et son amour de la Patrie, Launette ne se déplaisait pas a ce rude métier du marin. Il le quitta cependant, ayant fait un assez long Service, et, toujours livre à lui-même, il partit pour l’Amérique du Sud, ou il voulait faire fortune. Après avoir résidé à Rio-de-Janeiro, ou il avait essay sans succès de professions diverses, il vint ä Paris, ou il fut successivement employé aux Messageries de la Presse et ä la librairie de M. Baschet. Launette avait instinctivement l'intuition des arts, le goütdes livres, il se plaisait à voir des gravures, des estampes, à admirer les halles compositions de nos artistes ; il se résolut, après quelque temps de pratique, à se faire éditeur, et il fonda la Librairie artistique, rue de Vaugirard. Sa première œuvre fut un coup de maitre, il l’entreprit de compte ä demi avec la maison Goupil : il s’agissait de publier quatre grands volumes in-folin, intitules les Grands Peintres et Les Aquarellistes ; ces livres donnaient la Biographie des Meissonier, des Bonnat, des Puvis de Chavannes, des Isabey, des Alphonse de Neuville, des Edouard Detaille, des Eugene Lambert, des Maurice Leloir, de tous les grands peintres, avec la reproduction en héliogravure de quelques-uns des plus beaux spécimens de leurs œuvres. Les premiers livraisons parues eurent unsucces considérable ; tous les peintres célèbres que Launette allait voir et solliciter, lui donnaient à reproduire les richesses de leurs cartons. Les quatre volumes parurent successivement et commencèrent ä faire la fortune du jeune éditeur. Launette, en possession d’un capital important, se lana dans l'entreprise d’autres publications ; il publia, avec la collaboration de M. Gillot, Les quatre fils Aymond; c’était M. Grasset, le peintre de grand talent, que Tediteur avait choisi pour illustrer chaque page, en planches admirables de composition, et qui sont tirées en couleur. Cet ouvrage, que les biblio philes ont beaucoup apprécié, est assurément Fun des plus curieux et des plus beaux de notre époque. Au milieu de ses succès, Launette continua ses publications, et fit paraitre successivement, en éditions absolument réussies, le Voyage sentimental de Sterne, avec les adorables compositions de Maurice Leloir. On ne tarda pas à voir se produire a la Librairie artistique, Manon Lescaut illustr parla reproduction d’une série d'aquarelles d’une exécution magistrale due encore au pinceau de Maurice Leloir. Launette augmenta sa maison en s’associant à M. Boudet, et il continua à faire paraitre de beaux et riches ouvrages.

Les Oiseaux, grand in-folio avec les aquarelles de Giacomelli reproduites en couleur ; Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau, illustres par Maurice Leloir; YHistoire des Ballons en deux volumes in-8°, richement illustres, par Gaston TSSANDIER; Les Affiches illustrées, par MAINDRON ; La Vie rustique, par Lhermitte, etc., etc. Après tant de succes, des revers frappèrent Fediteur, et la maladie le terrassa ; dans son lit de douleur, il continuait encore la fabrication des beaux livres, et c’est lui qui dirigeait pour la maison Calmann-Lvy, a laquelle il avait été attaché, la publication des Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas, ouvrage qui a encore donn a M. Maurice Leloir l’occasion de faire des chefs-d'œuvre d'illustration. Tout à fait à la fin de sa vie, il voulut s’occuper encore, et M. Conquet fit de Launette son collaborateur pour un ouvrage de luxe, inachevé, et qui va paraître prochainement. Launette n’est plus, mais J'es livres qu’il a édités seront toujours cités parmi les plus remarquables de ceux qui font honneur à l’art français. G. T.

Another article

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Translated

H. Launette. — The name of Launette, creator of the Librairie artistique, from which so many beautiful books have come, is known to all bibliophiles and to a large number of artists or writers who have associated themselves with his work. Launette, whom death has just taken away in his forty-ninth year, after more than three years of suffering that he had to endure following a sudden attack of incurable paralysis, was a child of his works.

By his own will, he enlisted as a novice at the age of seventeen in the State Navy; he made great voyages, and took part, after his first explorations, in the Tonkin Campaign, where he was a sailor on a gunboat navigating the rivers. With his ardor for the life of adventure, and his love of the Fatherland, Launette did not dislike this harsh profession of the sailor. He left him, however, having done a fairly long Service, and, always left to himself, he left for South America, where he wanted to make his fortune. After having resided in Rio-de-Janeiro, where he had tried various professions without success, he came to Paris, where he was successively employed at the Messageries de la Presse and at the bookstore of M. Baschet. Launette had instinctive intuition for the arts, a taste for books, he enjoyed seeing engravings, prints, admiring the halles compositions of our artists; he resolved, after some time of practice, to become a publisher, and he founded the Librairie artistique, rue de Vaugirard. His first work was a masterstroke, he undertook it on account of half with the Goupil house: it was a question of publishing four large in-folio volumes, entitled the Great Painters and the Watercolorists; These books gave the Biography of Meissonier, Bonnat, Puvis de Chavannes, Isabey, Alphonse de Neuville, Edouard Detaille, Eugene Lambert, Maurice Leloir, of all the great painters, with the reproduction in heliogravure of some of the most beautiful specimens of their works. The first deliveries published had a considerable success; all the famous painters that Launette went to see and solicit, gave him to reproduce the riches of their cartoons. The four volumes appeared successively and began to make the fortune of the young publisher. Launette, in possession of a large capital, launched himself into the enterprise of other publications; he published, with the collaboration of Mr. Gillot, Les quatre fils Aymond; it was Mr. Grasset, the painter of great talent, that the publisher had chosen to illustrate each page, in admirable plates of composition, and which are printed in color. This work, which bibliophiles have greatly appreciated, is certainly one of the most curious and beautiful of our time. In the midst of his successes, Launette continued his publications, and successively brought out, in absolutely successful editions, Sterne's Sentimental Journey, with the adorable compositions of Maurice Leloir. It was not long before the Librairie artistique produced Manon Lescaut illustrated by the reproduction of a series of watercolors of a masterly execution due again to the brush of Maurice Leloir. Launette expanded his house by associating himself with M. Boudet, and he continued to publish beautiful and rich works.

Les Oiseaux, large folio with Giacomelli's watercolors reproduced in color; Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau, illustrated by Maurice Leloir; LHistoire des Ballons in two volumes in-8°, richly illustrated, by Gaston TSSANDIER; The Illustrated Posters, by MAINDRON; La Vie rustice, by Lhermitte, etc., etc. After so much success, setbacks struck Fediteur, and illness overcame him; in his bed of pain, he still continued the production of fine books, and it was he who directed for the Calmann-Lvy publishing house, to which he had been attached, the publication of The Three Musketeers, by Alexandre Dumas, a work which again gave Mr. Maurice Leloir the opportunity to create masterpieces of illustration. Right at the end of his life, he wanted to keep himself busy, and Mr. Conquet made Launette his collaborator for a luxury work, unfinished, which will be published soon. Launette is no more, but the books he published will always be cited among the most remarkable of those which do honor to French art. G. T.

Process article

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Le Times, de Londres, a le premier inauguré la publication par la voie des journaux politiques, des weather-maps ; dans son édition de deux heures du soir, ii reproduit chaque jour la carte du temps du meteorological Office, et dans son édition du matin, il publie, à l’aide d’informations particulières, une seconde carte du temps qui donne la situation générale atmosphérique du Nord-Ouest de l’Europe, la veille, a six heures du soir ; et pour cette seule publication météorologique, il n'a pas hésité à dépenser 500 Livres sterling par an, cette somme représentant, bien entendu, non-seulement les frais d’impression, mais ceux d’observations, de transmission télégraphique et de travaux spéciaux pour ce service au meteorological Office.

Depuis quelques mois, la presse française a suivi cet exemple ; le journal l'Opinion nationale s’était déjà fait remarquer, il y a trois ans. par la publication d’une série de bulletins météorologiques qui oui précédé et peut - être facilité l’élaboration du décret du 13 février 1873, réorganisant la météorologie française ; il a pris des arrangements avec l’Observatoire de Paris et avec le nouvel éditeur du Bulletin international, et, depuis le mois de décembre 1875, il reproduit, chaque soir, la carte du temps du jour laquelle se trouve ainsi tirée à un nombre considérable d’exemplaires. Les cartes publiées par V Opinion sont beaucoup plus nettes que celles du Times ; les courbes d’égale pression barométrique y sont en traits pleins et non en pointillés, l’échelle est plus grande et l’étendue du pays représenté est plus que doublée.

Cette publication constitue donc un progrès sérieux, et il ne sera pas sans intérêt d’expliquer par quel procédé on est arrivé à ce résultat : c’est à l'aide de la gravure chimique en relief. Voici comment les choses se passent : chaque jour, l’Observatoire de Paris envoie, vers deux heures de l’après-midi, la minute du Bulletin international aux ateliers de gravure chimique de MM. Yves et Barret.

Cette minute, écrite sur du papier spécial, arrive à l’atelier vers 2 h. 1/2, et est immédiatement reportée sur la pierre lithographique servant au tirage du bulletin lithographié que reçoivent les correspondants de l’Observatoire et les abonnés.

Dès que le report sur pierre est achevé, c’est-à-dire vers trois heures, à l’aide d'une épreuve sur papier Chine, on fait un report sur une planche de zinc ; lorsque le dessin est reproduit sur le métal, on attaque ce dernier par l’acide azotique, à l’aide de procédés spéciaux dont MM. Yves et Barret ont le secret.

Cette opération nécessite des soins minutieux, des retouches nombreuses, une surveillance incessante ; mais les ouvriers, dressés depuis plusieurs années ace travail, y ont acquis une telle habileté, qu’il se fait presque mécaniquement et que les morsures de l’acide sont dirigées avec autant de sûreté que la pointe d’un burin. Au bout de trois heures d'immersion, le métal a été attaqué partout où doivent subsister les blancs du dessin et celui-ci ressort en relief sur la plaque.

On cloue alors sur bois la plaque ainsi préparée et on a un cliché. Ce cliché est envoyé à G h. 112 au journal l'Opinion, mis immédiatement sous presse et la poste distribue le soir à Paris, en même temps et le Bulletin international et sa reproduction dans le journal ; l’un et l’autre sont expédiés en province et à l’étranger par les courriers du soir (1).


1) Le procédé du Times est plus expéditif : il reçoit du Meleorological Office la carte du temps, à 11 heures du matin, fait un cliché en plâtre et met sous presse à midi et demi, c'est-à-dire une heure et demie après. La carte du soir lui est remise à 9 heures et le journal est mis sous presse à 2 heures du matin.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t5374661p/f351.item

The Whistler Journal

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Tallant's in Mayfair was not far from Heinemann s house in Norfolk Street. In it one was conscious of what Whistler described as the "lovely respectability of the British family hotel." This autumn Whistler was so extremely worried about his health that only occasionally was he in really good form, only occasionally did he talk in the old fashion. The Journal from this time on, is more than ever the record of his health which it had begun to be the year before.

Wednesday, November 13th. Whistler and the Janviers came to dinner. Whistler made a captive of Mrs. Janvier to whom he told his story of the Roman cake in Corsica, so that after dinner she literally got him in a corner by the fire, while I talked to Janvier and Chefdeville who came in with his son. Whistler had arrived, to his horror, in a little rain that began suddenly as he was on his way here from Charing-Cross Station, and Augustine had taken him in the dining room and helped him off with his shoes and lent him her slippers which, for fear he might mind, she said were Joseph s. And in her slippers, with anything but "dandy" feet he spent the rest of the evening.

Louis Chefdeville was a most interesting French artist who, in the early Eighties, took up photo-engraving and made, during his life time, which was a stormy one, some of the most interesting line and half-tone blocks ever printed in France and England. He did a great deal, especially in England where he lived for years and until his death, to advance the art of photo-engraving.

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    1. Via BnF (Gallica). Free access icon
    2. Via Google Books (National Library of the Netherlands). Free access icon


Liquidation

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Français : Paris (January 1, 1886) — Liquidation de la société Yves Barret, exploitation d'un fonds de photogravure, sis à Paris, rue Thévenot, 6.
English: Paris (January 1, 1886) — Liquidation of the company Yves Barret, operating a photoengraving business, located in Paris, rue Thévenot, 6.[3]

Other

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Français : (March 25, 1895) Par suite de l'expropriation de la rue Thévenot pour le prolongement de la rue Réaumur, la maison de photogravure A. Yves :  « Aux Arts graphiques » (ancienne maison Yves et Barret), ci-devant, 6, rue Thévenot, est transférée 10, rue Beauregard, près la rue Poissonnière.
English: (March 25, 1895) Due to the expropriation of rue Thévenot for the extension of rue Réaumur, the photogravure house A. Yves: "Aux Arts graphiques" ("The Graphics Arts") (formerly the house of Yves and Barret), formerly at 6 rue Thévenot, has been relocated to 10 rue Beauregard, near rue Poissonnière.[a]
  • "Mort Subite" [Sudden Death]. Le Journal. Vol. 4 (Quatrième année), Nº 970. March 25, 1895. p. 4 (column 4, middle).

Paris directories

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  • Annuaire-Almanach du Commerce Didot-Bottin.
This directory, commonly known as the "Bottin," was published annually and is one of the most comprehensive commercial directories from the period. It covers Paris businesses, trades, and industries, including engravers and artisans. Bottin from the 1860s through 1890 should provide listings for companies like "Yves & Barret."
Available at libraries or through Gallica, the digital library of the Bibliothèque nationale de France (BnF).
    1. BnF 9764647w
    2. BnF 32695639f
    3. LCCN sf86-91914
    4. ISSN 2452-7246 (BnF)
    5. ISSN 1770-6890 (HathiTrust)
    6. ISSN 1770-6777
    7. ISSN 1770-6882 ( ...et de Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration [ ... and General Directory of Commerce, Industry, Judiciary and Administration].)
    8. ISSN 2610-2897 (Becomes Annuaire du commerce Didot-Bottin [Didot-Bottin Business Directory].)
    9. ISSN 3040-844X (Supplement: Album illustré de l'Almanach Didot-Bottin [Illustrated Album of the Didot-Bottin Almanac]: 1877–1879.)
      (Supplement: Annuaire illustré des fabricants [Illustrated Album of the Didot-Bottin Almanac]: 1880–1883.)
    10. OCLC 8450268 (all editions), OCLC 472031623 (all editions), and 1125689879
The term "imprimeurs-libraires de l'institut" refers not merely to a professional designation, but to a prestigious affiliation with a leading intellectual body, such as the Institut de France. During the 19th century, printers and booksellers granted this title were recognized for their excellence and entrusted with producing scholarly works on behalf of esteemed academic institutions. This association highlighted the firm's distinguished role in France's intellectual and cultural life, elevating it beyond a standard commercial operation.
    1. 1881: "84ᵉ année de la publication". Free access icon
    2. 1889: "92ᵉ année de la publication".
      1. "Première partie" [Part 1]. Free access icon
    3. 1891: "94ᵉ année de la publication".
      1. "Première partie" [Part 1]. Free access icon
      2. "Deuxième partie" [Part 2]. Free access icon



  • Le Guide Indicatif et Alphabétique de Paris.
Another useful directory for finding addresses and names of businesses in Paris during this era, including engravers. It was similar to the Didot-Bottin but also emphasized individual residential listings, so it could help identify the first names associated with firms.
  • Archives de Paris.
The Archives de Paris houses various historical documents, including trade directories, legal documents, and notary records, which may include details about business partnerships like "Yves & Barret."
You can visit their website or contact them for help accessing specific documents.
  • Almanach Général de Paris.
This directory includes a list of artisans and trades, and it may include engravers like "Yves & Barret." This could provide clues to both partners' first names and additional business information.

Historical marker

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Histoire de Paris La rue Réaumur

La rue Réaumur fut ouverte entre les rues Saint-Denis et Notre-Dame-des-Victoires en 1895–1896, à l'emplacement de la rue Thèvenot.  Celle-ci était au XIVe siècle une impasse donnant sur la rue des Petits-Carreaux ; elle fut prolongée jusqu'à la rue Saint-Denis en 1676, portant le nom d'un ancien contrôleur des rentes de l'Hôtel de Ville qui y fit bâtir plusieurs maisons.

Le côté impair de cette rue est toujours visible aujourd'hui. La rue Réaumur, inaugurée en 1897 par Félix Faure, relie le Sentier au boulevard de Sébastopol. Les règlements d'urbanisme de 1884 et 1902, qui poussent au gonflement des toits, et de 1893 (l'autorisation des bow-windows entraine l'ondulation des surfaces) expliquent la profusion de façades très décoratives, dont plusieurs sont primées au Concours annuel crée en 1898, qui associent la pierre, le fer et le verre.

Ainsi le n° 118, de Montarnal, fut prime en 1900. Le n° 124, entièrement métallique, est dû à Chardanne. Plusieurs d'entre eux abritaient les bureaux de journaux : "L'Intransigeant" puis "France Soir au n° 100, "Le Parisien Libéré" au n° 113.

Historical marker (translated)

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History of ParisRue Réaumur

Rue Réaumur was opened between Rue Saint-Denis and Rue Notre-Dame-des-Victoires in 1895–1896, on the site of Rue Thèvenot. In the 14th century, this street was a dead end leading to Rue des Petits-Carreaux. It was extended to Rue Saint-Denis in 1676, named after a former controller of city rents who built several houses there.

The odd-numbered side of this street is still visible today. Rue Réaumur, inaugurated in 1897 by Félix Faure, connects the Sentier district to Boulevard de Sébastopol. Urban planning regulations from 1884 and 1902, which encouraged expanding roofs, and from 1893 (allowing bow windows to create undulating surfaces), explain the abundance of highly decorative facades, several of which won awards in the Annual Competition created in 1898, combining stone, iron, and glass.

For example,

  1. No. 118, by Montarnal, won a prize in 1900.
  2. No. 124, entirely metallic, was designed by Chardanne.

Several buildings housed newspaper offices:

  1. L'Intransigeant and later
  2. France Soir at No. 100, and
  3. Le Parisien Libéré at No. 113.

Directories

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1891

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Photo-lithographie


Yves (A.), rue Thévenot, 6.

Delval et Pascalis (maison Roseleur), produits spéciaux pour photogravure, Chapon, 5.

Fontaine, graveur, planche rayée ou lignée diagonalement pour phototypogravure, rue St-Jacques, 67.

Foucher frères ✠, appareils, cuves, châssis, biseautoirs, rabots, scies à découper, etc., boul. Jourdan, 14.

Mercier (Ed.) (anc[ien] mon[sieur] Vve Baloche), produits spéciaux pour divers procédés de gravure chimique, rue du Faubourg-Saint-Denis, 97.

Ravasse (E[ugène]) 🞴, rue de Crimée, 99 (voir Mécaniciens).

Roger (E.), Moteurs à gaz et au Pétrole Dynamos spéciales pour installation d'éclairage électrique, 26 médailles diverses or et argent Paris 1888 et 1889.
Vente et locationrue des Dames, 52. TÉLÉPH.

Schaeffner [Antoine], produits et appareils pour photogravure, brochure instructive, rue de Châteaudun, 2.[4]


  • = Articles ayant rapport à la profession à la fin de laquelle ils sont placés [Articles related to the profession at the end of which they are placed].
  • ✠ = Toute autre croix que celle de la Légion d'Honneur [Any cross other than that of the Legion of Honor].
  • 🞴 = Chevalier de la Légion d'honneur.

1891 Paris directory

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Thévenot (rue).
(275m de longueur.)
2e Arr[ondissement] (Bourse). Bonne Nouvelle). — Rue St-Dennis, 203 et 205, — rue des Petits-Carreaux, 22 et 24.
  1. Chandelet (E.) frères, fabr[icant] de fleurs fines, feuillages et plumes.
Dubré (A.), soies teintes.
Yves (A.), photogravure paniconographique.

Thévenot (Street)
(275 meters in length)
2nd Arrondissement (Bourse). (Bonne Nouvelle). — Connects Rue Saint-Denis, numbers 203 and 205, — to Rue des Petits-Carreaux, numbers 22 and 24.
  1. Chandelet (E.) brothers, manufacturers of fine flowers, foliage, and feathers.
Dubré (A.), dyed silks.
Yves (A.), paniconographic photograving[5]

1845 tenant at 6 rue Thevenot

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Le Cadran-Marque
Remplace toutes les marques (cartes et jetons) dont on se sert dans les lieux publics et les sociétés particulières pour compter les points à tous les jeux et notamment au Domino, au Piquet, à l'Impériale, au Jeu des Cinq-Cents et à l'Écarté. Son utilité généralement appréciée l'a introduit tout d'abord dans les maisons Giroux et Susse, chez M. Fortin, propriétaire du Grand-Café de France, boulevard lionne-Nouvelle, et chez les principaux tabletiers et papetiers de la capitale. Brevet d'invention sans garantie du gouvernement. Prix de deux cadrans » renfermés dans une boîte en acajou : 4 francs. — S'adresser chez l'inventeur, 6, rue Thévenot Pas de dépôts. (Affranchir).


The Cadran-Marque
Replaces all markers (cards and tokens) used in public places and private societies to count points for all games, especially Domino, Piquet, Impériale, Jeu des Cinq-Cents, and Écarté. Its widely appreciated usefulness has led to its introduction, first in the Giroux and Susse stores, at Mr. Fortin's establishment, owner of the Grand-Café de France, Boulevard Lionne-Nouvelle, and with the main gaming and stationery suppliers in the capital. Patent of invention without government guarantee. Price for two counters enclosed in a mahogany box: 4 francs. — Contact the inventor at 6, rue Thévenot. No deposits. (Please prepay).[6]

Rue Thévenot

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Date : circa 1866
Auteur : Charles Marville (1813-1879)
Format : tirage 2014 d’après négatif restauré numériquement, 26.9 x 33.6 cm
Collection : GDC
Version haute définition : 2600 x 3239 pixels.
Marville se trouve devant le no 25, rue Thévenot (aujourd’hui le no 85 bis, rue Réaumur). L’impasse de l’Étoile et tous les pairs de la rue Thévenot vont disparaître en 1895-1896 lors du prolongement, de la rue Saint Denis à la rue Notre Dame des Victoires, de la rue Réaumur.
Le passage couvert que l’on voit au fond (enseigne à la clef) conduisait à la cour Lanoy. Un autre passage, non visible sur la photographie, faisait communiquer l’impasse de l’Étoile et la cour des Miracles, fameuse cour dont l’emplacement est aujourd’hui occupé par l’immeuble du 98-100, rue Réaumur (qui date de 1930).
Plan rue Thévenot
Ci-dessus, le plan parcellaire municipal établi vers 1894-1895 et publié en janvier 1898 [3000 x 2168 px]. Il montre les propriétés expropriées rue Thévenot pour le percement de la rue Réaumur (1895-1896).
Plan impasse de l’Étoile
ÉTOILE (IMPASSE DE L’). Située dans la rue Thévenot, entre les nos 26 et 28. Le dernier impair est 7 ; le seul pair, 2. Sa longueur est de 77 m. — 5e arrondissement, quartier de Bonne-Nouvelle.
C’était en 1372 le cul-de-sac des Cordiers, de la Corderie. La rue Thévenot fut ouverte en 1676 sur une partie de cette impasse. La portion qui resta prit le nom de l’Étoile qu’elle doit à une enseigne:
Arrêt du Conseil :
« Le Roy ayant esté informé que le cul-de-sac de l’Étoile, au quartier Montorgueil près la Ville-Neuve, servoit de retraite presque toutes les nuits à toutes sortes de gens de mauvaise vie, et qu’il s’y commettoit quantité de désordres au préjudice de la sûreté publique et des bourgeois qui y ont leurs entrées et issues, et qu’il seroit très facile d’y remédier en l’élargissant pour y mettre une porte de fer à son entrée, dont les propriétaires qui y ont des maisons auroient chacun une clef ; à quoy voulant remédier ; le Roy étant en son conseil, de l’avis du duc d’Orléans, régent, a ordonné et ordonne que par les Prévôt des marchands et échevins, il sera donné avis à sa majesté de la commodité ou incommodité de l’élargissement et de la fermeture par une porte de fer du dit cul-de-sac de l’Étoile, proposez par les habitants du quartier Montorgueil ; pour le d. avis être veu et rapporté à sa majesté et être par elle ordonné ce qu’il appartiendra. Fait au Conseil d’État, sa majesté y estant, tenu à Versailles le 11e jour de may 1716. Signé Louis. »
(Bureau de la Ville, registre H, no 1846.) Cette impasse n’a jamais été alignée. Sa largeur actuelle est de 4 m. environ.
MIRACLES (COUR DES). Située entre l’impasse de l’Étoile, les rues de Damiette et des Forges. — 5e arrondissement, quartier de Bonne-Nouvelle.
Celle cour existait déjà au treizième siècle. Son nom était commun à tous les endroits qui servaient de retraites aux mendiants et aux vagabonds qui encombraient les rues avant l’établissement des hôpitaux. Les gueux et gens sans aveu contrefaisaient les malades et les estropiés, pour attirer la commisération publique. Rentrés dans leurs repaires, ils opéraient le miracle d’une guérison parfaite. — Il n’existe pas d’alignement pour cette cour, qui n’est pas reconnue voie publique.
Dans celle cour demeurait, en 1793, Hébert, rédacteur du journal le Père Duchesne. Après le 10 août, il fut nommé membre de la Commune de Paris, puis substitut du procureur syndic de cette sanglante administration municipale. Sa conduite odieuse lors du procès de Marie-Antoinette révolta contre cet homme les ennemis les plus acharnés de cette reine infortunée. Dénoncé par Saint-Just à la Convention comme l’un des chefs d’une faction qui menaçait la tranquillité de l’État, Hébert fut mis en accusation et condamné à mort avec Ronsin, Vincent, Anarcharsis Clootz et autres. Le 4 germinal an II, ils furent tous guillotinés. Le folliculaire qui avait outragé la Reine et insulté la femme, perdit plusieurs fois connaissance pendant le trajet de la prison à l’échafaud. Hébert mourut lâchement.
[Félix et Louis Lazare. Dictionnaire administratif et historique des rues et monuments de Paris. Paris, Bureau de la Revue Municipale, 1855.]
Le 24 août 1864, au palais de Saint-Cloud, l’empereur Napoléon III signe le décret déclarant d’utilité publique le prolongement de la rue Réaumur, avec une largeur de 20 mètres, depuis la rue Saint Denis jusqu’au débouché de la rue de la Paix sur le boulevard des Capucines.
La section de la rue Réaumur prolongée entre la Bourse et l’Opéra est réalisée en 1868-1869 et prend le nom de rue du Dix Décembre, puis de rue du Quatre Septembre en 1870. La chute de l’Empire suspend le projet de percement de la section de la rue Réaumur entre les rues Saint Denis et Notre Dame des Victoires.
Le 9 avril 1885, un décret du président Jules Grévy modifiant l’alignement prévu par le décret de 1864 est publié. Il s’agit, par souci d’économie, de conserver les impairs de la rue Thévenot entre les rues Saint Denis et des Petits Carreaux. Cette décision évite l’expropriation d’au moins une quinzaine d’immeubles, au prix d’un décroché dans l’alignement.
Le 4 juin 1894, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés nécessaires à l’ouverture de la rue Réaumur entre les rues Saint Denis et d’Aboukir. Le 14 décembre 1894, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés entre les rues d’Aboukir et de Cléry. Le premier immeuble à tomber sous les pioches des démolisseurs est le no 16 de la rue Thévenot, à la mi-janvier 1895. Le 3 mai 1895, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés entre les rues de Cléry et Notre Dame des Victoires. Le principal des démolitions est effectué en 1896. Le dimanche 7 février 1897, Félix Faure préside à l’ouverture officielle de la nouvelle percée parisienne.
Datation de la prise de vue : vers 1866.


No 122 Impasse de l’Étoile, de la rue Thévenot. Vers 1866.
State Library of Victoria Musée Carnavalet BHVP (négatif)
— CARPH000440 NV-004-C-0239
— 27.9 x 30.5 29.7 x 38.1
— 1865-1868 1866-1867
Position estimée
Auteur(s) de la notice : Laurent Gloaguen.
Publié initialement le dimanche 30 novembre 2014.
Dernière mise à jour le lundi 15 juin 2015.
Article classé dans : Charles Marville > Vues du Vieux Paris.
Mots-clefs : 1860-1869 paris
Le 9 avril 1885, un décret du président Jules Grévy modifiant l’alignement prévu par le décret de 1864 est publié. Il s’agit, par souci d’économie, de conserver les impairs de la rue Thévenot entre les rues Saint Denis et des Petits Carreaux. Cette décision évite l’expropriation d’au moins une quinzaine d’immeubles, au prix d’un décroché dans l’alignement.
Le 4 juin 1894, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés nécessaires à l’ouverture de la rue Réaumur entre les rues Saint Denis et d’Aboukir. Le 14 décembre 1894, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés entre les rues d’Aboukir et de Cléry. Le premier immeuble à tomber sous les pioches des démolisseurs est le no 16 de la rue Thévenot, à la mi-janvier 1895. Le 3 mai 1895, sont déclarées cessibles immédiatement les propriétés entre les rues de Cléry et Notre Dame des Victoires. Le principal des démolitions est effectué en 1896. Le dimanche 7 février 1897, Félix Faure préside à l’ouverture officielle de la nouvelle percée parisienne.
Datation de la prise de vue : vers 1866.
No 122 Impasse de l’Étoile, de la rue Thévenot. Vers 1866.
State Library of Victoria Musée Carnavalet BHVP (négatif)
— CARPH000440 NV-004-C-0239
— 27.9 x 30.5 29.7 x 38.1
— 1865-1868 1866-1867


Position estimée
Auteur(s) de la notice : Laurent Gloaguen.
Publié initialement le dimanche 30 novembre 2014.
Dernière mise à jour le lundi 15 juin 2015.
Article classé dans : Charles Marville > Vues du Vieux Paris.
Mots-clefs : 1860-1869 paris

Translation

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Impasse de l'ÉtoileLooking north, from rue Thévenot, 2ème arrondissement. In the background, one of the entrances to the Cour des Miracles.) Photo by Charles Marville (1813–1879) (ca. 1865–1868)

Impasse de l’Étoile, viewed from rue Thévenot, 2ème arrondissement, Paris (ca. 1866).
Marville is located in front of no. 25, rue Thévenot (today no. 85 bis, Rue Réaumur). The Impasse de l’Étoile and all the peers of Rue Thévenot disappeared in 1895–1896 when Rue Réaumur was extended from Rue Saint Denis to rue Notre Dame des Victoires.
The covered passage that can be seen in the background (sign with key) led to the Lanoy courtyard. Another passage, not visible in the photograph, connected the Impasse de l'Étoile and the Cour des Miracles, a famous courtyard whose location is today occupied by the building at 98–100, : rue Réaumur (which dates from 1930).
Plan Rue Thévenot
Above, the municipal land plot plan drawn up around 1894-1895 and published in January 1898 [3000 x 2168 px]. It shows the properties expropriated on Rue Thévenot for the opening of Rue Réaumur (1895–1896).
Plan Impasse de l’Étoile
Impasse de l'Étoile, located on rue Thévenot, between Nᵒˢ 26 and 28. The last odd number is 7; the only even number is 2. Its length is 77 m (253 ft). — 5ᵉ arrondissement, Bonne-Nouvelle district.
In 1372 it was the Dead-End of the Cordiers, of the Corderie [Rue de la Corderie??]. Rue Thévenot was opened in 1676 on a part of this Impasse. The portion that remained took the name of Étoile which it owes to a sign:
Order of the Council:

"The King having been informed that the Impasse de l'Étoile, in Quartier Montorgueil near Ville-Neuve, served as a retreat almost every night for all sorts of people of ill repute, and that a great deal of disorder was committed there to the detriment of public safety and the bourgeois who have their entrances and exits there, and that it would be very easy to remedy this by widening it to put an iron gate at its entrance, of which the owners who have houses there would each have a key; to which wishing to remedy: The King being in his council, with the advice of the Duke of Orleans, Regent, has ordered and orders that by the Provost of the Merchants [Prévôt des marchands (Jean-Baptiste Joseph Feydeau)] and Aldermen [échevins (Antoine de Sèvre, Pierre Hüet)], notice will be given to His Majesty of the convenience or inconvenience of the widening and closing by an iron gate of the said Cul-de-sac of the Étoile, proposed by the inhabitants of Quartier Montorgueil; for the said notice to be seen and reported to His Majesty and to be ordered by Him what will pertain. Done at the Council of State, His Majesty being there, held at Versailles on the 11th day of May 1716. Signed Louis".

(Bureau de la Ville de Paris, Registre H, N° 1846.) This cul-de-sac has never been aligned. Its current width is approximately 4 m (13 ft).[7]
Cour des Miracles, located between the impasse de l’Étoile, the streets of Damiette and des Forges. — 5ᵉ arrondissement, Quartier de Bonne-Nouvelle.
This courtyard already existed in the thirteenth century. Its name was common to all the places that served as retreats for beggars and vagabonds who cluttered the streets before the establishment of hospitals. The beggars and people without confession pretended to be sick and crippled, to attract public commiseration. Returning to their lairs, they performed the miracle of a perfect cure. — There is no alignment for this courtyard, which is not recognized as a public road.
In this courtyard lived, in 1793, Jacques René Hébert (1757–1794), editor of the newspaper Le Père Duchesne. After August 10, he was named a member of the Paris Commune, then substitute for the syndic prosecutor of this bloody municipal administration. His odious conduct during the trial of Marie-Antoinette revolted against this man the most bitter enemies of this unfortunate queen. Denounced by Saint-Just to the Convention as one of the leaders of a faction that threatened the tranquility of the State, Hébert was indicted and sentenced to death with Charles-Philippe Ronsin (1751–1794), François-Nicolas Vincent (1766–1794), Anacharsis Cloots (1755–1794), and others. On 4 Germinal Year II, they were all guillotined. The follicular who had outraged the Queen and insulted the woman, lost consciousness several times during the journey from the prison to the scaffold. Hébert died a cowardly death.[8][9]
On August 24, 1864, at the Palace of Saint-Cloud, Emperor Napoleon III signed the decree declaring of public utility the extension of Rue Réaumur, with a width of 20 meters, from Rue Saint Denis to the outlet of Rue de la Paix on Boulevard des Capucines.
The section of Rue Réaumur extended between the Bourse and the Opera was completed in 1868-1869 and took the name of Rue du Dix Décembre, then Rue du Quatre Septembre in 1870. The fall of the Empire suspended the project to build the section of Rue Réaumur between Rue Saint Denis and Rue Notre Dame des Victoires.
On April 9, 1885, a decree by President Jules Grévy modifying the alignment provided for by the 1864 decree was published. For the sake of economy, the idea was to keep the odd numbers on Rue Thévenot between Rue Saint Denis and Rue des Petits Carreaux. This decision avoided the expropriation of at least fifteen buildings, at the cost of a setback in the alignment.
On June 4, 1894, the properties necessary for the opening of Rue Réaumur between Rue Saint Denis and Rue d’Aboukir were declared immediately transferable. On December 14, 1894, the properties between Rue d’Aboukir and Rue de Cléry were declared immediately transferable. The first building to fall under the demolition men's picks was No. 16, Rue Thévenot, in mid-January 1895. On May 3, 1895, the properties between Rue de Cléry and Rue Notre Dame des Victoires were declared immediately transferable. The majority of the demolitions were carried out in 1896. On Sunday, February 7, 1897, Félix Faure presided over the official opening of the new Parisian breakthrough.

Table

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Dating of the shot: around 1866.

122
Impasse de l'Étoile, off rue Thévenot. ca. 1866.
Musée Carnavalet (print on albumen paper) BHVP (glass negative on collodion)
PH440 NV-004-C-0239
30.5 cm (12 in) × 27.9 cm (11 in) 38.1 cm (15 in) × 29.7 cm (11+1116 in)
1865–1868 1866–1867[10][11]


N° 3: Desroche, menuisier [carpenter]
N° 7: Weninger (Gᵛᵉ) et Cⁱᵉ, fabr[icant] [or fabrique] de colle-forte et gélatine [strong glue and gelatin]
N° 7: Charbonnier, fabr[icant] [or fabrique] de cartonnages [Charcoal seller, manufacturer of cardboard products]
Charbonnerie or Charbonnerie Cartonnage Louis Garcia

Cham??
Cad??
Meu??

???? ???? Plumes ??? Parures

Barret invention

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In 1858, Berchtold proposed the use of a grid made of ribbed glass to transform tones into dots,[12][13] and ten years later, in 1868, Amédée Barret and Hyacinthe de Font-Réaulx (1845–1902) recommended inserting "a frosted glass plate, scratched or bearing any kind of grain" between the photographic image to be reproduced and the zinc plate that needed to be exposed.

  • Berchtold, Charles de (died 1859) (December 14, 1857). "Procédé de gravure des épreuves photographiques" ["Process for engraving photographic proofs"] (Brevet de quinze ans [fifteen-year patent]). INPI, N° 34719.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
  • Barret, [Amédée]; Font-Réaulx, [Hyacinthe de (1845–1902)]; [both] of Degorce-Cadot, in Paris, rue Serpente, n° 37 (July 2, 1868). "Procédé afin d'obtenir des plaques héliographiques planes munies du grain ou hachure nécessaire à l'impression sans le secours du burin" ["Process for obtaining flat heliographic plates, equipped with the necessary grain or hatching for printing, without the use of the burin"] (Brevet de quinze ans [fifteen-year patent]). INPI, N° 81514.{{cite book}}: CS1 maint: multiple names: authors list (link) CS1 maint: numeric names: authors list (link)[14][15]
The Cadot and then Degorce-Cadot company was a popular publishing house of the 19th century (1836-1893).

  • L'Indicateur des mariages de Paris. "Relevé des mariages affichés dans les mairies" [The Paris Marriage Indicator. "List of Marriages Displayed in Town Halls"]. "Degorce, négociant, à Saint-Mandé. Mlle Cadot, chez ses père et mère, rue Serpente, 37" ["Degorce, merchant, in Saint-Mandé. Miss Cadot, at her father and mother's house, rue Serpente, 37"]. Vol. 26, N° 1157. rue Montmartre, Nº 31. April 15–22, 1866. p. 2 (column 2).
    1. Via BnF (Gallica). Free access icon
"Est donné en prime aux abonnés des journaux Le Salon et des Fiancés" ["Included as a bonus to subscribers of the newspapers Le Salon and Des Fiancés"]

Possible Berchtold relative invention

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  • 35° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 14 décembre 1857, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Berchtold (Alfred-Jean), employé, rue de l'Abbaye, n° 34, à Montmartre, pour un procédé de gravure.
  • 35° The fifteen-year invention patent, for which the application was filed on December 14, 1857, at the office of the prefecture of the department of the Seine, by Mr. Berchtold (Alfred-Jean), employee, residing at 34 rue de l'Abbaye, in Montmartre, for an engraving process.[13]
  • 426. Alfred Jean Berchtold, Engraver, of Paris, in the French Empire, for an invention for—" Certain improvements in applying the photographic engraving on metals or other materials." Stopped at fiat.[16]

Berchtold

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Identification
Cote
frSFP000031imBN
Titre
Alfred-Jean Berchtold
Date en champ libre
post[érieure à]. [after] 1846-ant[érieure à]. [before] 1861
Niveau de description [Level of description]
Fonds
Volume
1 boîte [1 box]
Contexte
Producteur [Producer]
Berchtold, Alfred-Jean (1824–1861)
(1824 – 22 janvier 1861)
Institution de conservation
Société française de photographie
Description
Contenu
  • test technique – technical test
  • gravure – engraving
  • Louvre – Louvre (the museum)
  • photomicrographie – photomicrography
  • papier ciré – wax paper
  • Machine – machine
  • Locomotive – locomotive
  • Train – train
  • portrait – portrait
  • homme – man
  • Impression typographique – typographic printing
  • reproduction de sculpture – sculpture reproduction
Accès et utilisation [Access and use]
Instruments de recherche [Research instruments]
Fonds Réservés de la Société française de photographie (FRSFP) [Reserved Funds of the French Society of Photography]
https://sfp.asso.fr/collection/images/pdf/FRSFP_IR_tirages_BERCHTOLD_0031.pdf
Mots-clés [Key words]
Auteurs et/ou Personnalités lié.e.s au fonds [Authors and/or Personalities connected to the collection]
Berchtold, Alfred-Jean (1824–1861)
Nature
Positif
Support
Opaque
Chromie
Monochrome
Identification
Type d'entité
Personne
Nom
Berchtold, Alfred-Jean (1824–1861)
Autre forme du nom [alternate name(s)]
Comte de Quérendo [Count of Querendo] ; Charles de Berchtold [Bertschold?]
Description
Dates d’existence
1824 – 22 janvier 1861
Adresses ou lieux connues [Known addresses or locations]
2, rue du Pressoir, à Montmartre, Seine (1854), Montmartre, 34 rue de l'Abbaye, Paris, Seine (1857 à 1861) ; Vienne, Autriche [Vienna, Austria]
Fonctions et activités [Functions and activities]
Employé d’administration [Administrative employee]
Annexes
Identifiant de notice d'autorité [Authority record identifier]
SFP1030000000031
Identifiant de l'institution [Institution ID]
SFP (Société française de photographie)
Exporter
EAC [Encoded Archival Context]


31 – Berchtold
Mort avant 1864 [Died before 1864]
Graveur
1 à 3
Essai de trame [Screen test]
Procédé de gravure des épreuves photographiques pour obtenir un grain régulier dans le but de rendre les demi-teintes [Process of engraving photographic prints to obtain a regular grain in order to render halftones].
BSFP [Bulletin de la Société Française de Photographie] 1857 pp 111 et 266.
pp. 111. 1857.
1 – 117×77 mm horizontal
2 – 120×60 mm horizontal
3 – Épreuve manquante [Missing print]
4 à 12
Neuf premiers essais à la roulette du graveur [First nine proofs with the engraver's roulette].
Épreuves imprimées à l'encre grasse en héliogravure [Proofs printed in greasy ink in gravure printing]. Date 1859
Bulletin de la Société Française de Photographie. Vol. 5. April 15, 1859. p. 116 – via Google Books (KB).
4 – Épreuve manquante [Missing print]
5 – 188×263 mm vertical
6 – 167×135 mm horizontal
7 – 136×97 mm horizontal
8 – 175×241 mm vertical
8bis – 175×241 mm vertical
9 – 171×164 mm vertical (angles coupés)
10 – 129×155 mm vertical
11 – 131×162 mm vertical
12 – 177×164 mm horizontal
13 à 20
Essais à l'aide d'un réseau imprimé après l'image [Tests using a printed grid after the image]
Épreuves imprimées à l'encre grasse en héliogravure [Prints made in heliogravure with thick ink], date 1859.
Bulletin de la Société Française de Photographie. Vol. 5. July 15, 1859. p. 211 – via Google Books (KB).
13 – Épreuve manquante [Missing print]
14 – 162×191 mm vertical
15 – 179×245 mm vertical (essai de trame [frame test])
16 – 140×103 mm horizontal
17 – 51×78 vertical
18 – Épreuve manquante [Missing print]
19 – 55×71 mm vertical
20 – 96×128 mm vertical
Sur l'impression de l'image et l'impression d'une trame, voir [On the printing of the image and the printing of a screen, see]
Bulletin de la Société Française de Photographie. Vol. 13. April 5, 1867. p. 101 – via Google Books (Deutsches Museum).


Bibliography

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Annotations

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The Échevins of Paris Praying before St Geneviève.
The provost of merchants and the aldermen of the city of Paris. With identifiable coats of arms: on the left, Jacques II Sanguin de Livry, provost; behind him, Pierre Perrot, attorney; Guillaume Clément, clerk; on the right, Jean Lambert; behind him, Jean Thévenot; Jean Perrot and Jean de la Noue, aldermen. Seven figures in prayer before an altar. The altarpiece depicts the Assumption of the Virgin, and the two niches contain figures of Saint Denis and Saint Genevieve. Georges Lallemand (1575–1636), artist.
  1. ^ Rue Thévenot was named in 1676 in honor of André Thévenot, chief controller of rents at the Hôtel-de-Ville. An ancestor, Jean Thévenot, was alderman of Paris in 1608, under the provostship of master Jean Sanguin.

    No 8 Thévenot became No 90 Rue Réaumur. No 6 Thévenot became No 88 Rue Réaumur. No 6 Thévenot was between rue des Petits-Carreaux (on Thévenot's west) and Rue Saint Denis (on the east).

    Rue Entre Deux Portes (in 1881, re-named rue Dussoubs) teed into rue Thévenot from the south ... and, going the other direction, teed into Rue du Petit Lion (earlier named rue Tiquetonne) from the north.

    The original Rue Réaumur was between rue Volta and rue Saint-Martin. A decree of June 10, 1897, united rue Thévenot with rue Réaumur as part of the transformations of Paris during the Second Empire. This Haussmannian artery stretches, running east to west, from the Square du Temple to the Bourse, parallel to The Grands Boulevards. It partially follows the paths of older streets. It retains entire sides of former streets that were absorbed during its construction:
    1. Rue Phélipeaux, in the Temple District (3rd arrondissement), and
    2. Rue Thévenot.

    The Thévenot street name can still be seen engraved at the corner of rue des Petits-Carreaux (2nd arrondissement). The first section of rue Réaumur was built between 1854 and 1858, from rue du Temple to rue Saint-Denis. It follows the layout of rue Phélipeaux, rue du Vieux-Marché-Saint-Martin, and rue Royale-Saint-Martin. During the same period, rue de Turbigo was also constructed.

    The creation of these two axes led to the disappearance of many small streets:

    1. Rue Royale-Saint-Martin
    2. Place de l'Ancien-Marché-Saint-Martin, between rue Royale-Saint-Martin and rue du Marché-Saint-Martin
    3. Rue du Marché-Saint-Martin, between fr:rue Volta and rue Turbigo
    4. Rue Henri-Ier, from rue Bailly to rue Royale-Saint-Martin
    5. Rue Saint-Marcoul, from rue Bailly to rue Conté
    6. Rue Saint-Benoit-Saint-Martin, between rue Royale-Saint-Martin and rue Conté
    7. Rue Saint-Maur-Saint-Martin, from fr:rue Royale-Saint-Martin to rue Conté
    8. Rue Saint-Paxent, from rue Bailly to rue Conté
    9. Place du Marché-Saint-Martin
    10. Rue Saint-Philippe-Saint-Martin
    11. Rue Saint-Philippe-Saint-Martin
    12. Rue Saint-Hugues
    13. Impasse Saint-Martin
    14. Rue de Breteuil

    Rue Réaumur was named for René Antoine Ferchault de Réaumur (1683–1757), French entomologist; neighborhood of the Conservatoire des Arts et Métiers.
    See also

Cite error: A list-defined reference named "La-Revue-comique-info" is not used in the content (see the help page).

Notes

[edit]
  1. ^ « Compte rendu de la 30ᵐᵉ session », 1901, p. XLIII.
  2. ^ Boivin, March 11–17 1917, pp. 139–141.
  3. ^ Degeorge, January 1, 1886, p. 784.
  4. ^ Didot, Part 2, 1891, p. 1908.
  5. ^ Didot, Part 2, 1891, p. 2719.
  6. ^ Gazette, April 2, 1845, p. 522.
  7. ^ Lazare, 1844, p. 208.
  8. ^ Lazare, 1844, p. 452.
  9. ^ Lazare, 1855, p. 547.
  10. ^ Marville (Gloaguen, ed.), June 15, 2015.
  11. ^ Martin, 1892.
  12. ^ INPI N° 34719: Berchtold, 1858, p. 304.
  13. ^ a b 35°: Berchtold, 1873, p. 290.
  14. ^ Gervais, November 6, 2007, p. 142.
  15. ^ INPI N° 81514: Barret, 1873, p. 290.
  16. ^ N° 426: Berchtold, 1856, p. 29.

References

[edit]
  • Martin, Alexis (1834–1904) (1892). Les étapes d'un touriste en France Paris Promenades dans les vingt arrondissements [The Steps of a Tourist in France: Paris, Walks in the Twenty Arrondissements]. Premier arrondissement : le Louvre [First Arrondissement: The Louvre]. Paris: A. Hennuyer, imprimeur-éditeur 47, rue Laffitte, 47.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
    1. Via Wikimedia Commons (PDF) (Getty). Free access icon
    2. Via Internet Archive (Getty). Free access icon


    1. Ajaccio: « Compte rendu de la 30ᵐᵉ session » ["Report of the 30th Session"]. "Barret (Amédée)". Part 1 (of 2). Liste générale des membres [General list of members] – De l'association française [Of the French Association] – Pour l'avancement des sciences [For the Advancement of Science] – Fusionnée avec [Merged With] – L’Association scientifique de France [The Scientific Association of France]. 1901. p. XLIII.
      1. Via HathiTrust (Princeton). 1901. Free access icon
      2. Via Internet Archive (LuEsther T. Mertz Library). 1901. Free access icon
      3. Via Google Books (Chicago). 1901. Free access icon


  • Gervais, Thierry, PhD (November 6, 2007). L'Illustration photographique – Naissance du spectacle de l'information, 1843–1914 [Birth of the Spectacle of Information, 1843–1914] (2 Vols.: 764 pages. Vol 1: 209 pages. Vol. 2: 555 pages). A thesis from EHESS, defended in October 2007. Between 1843 and 1914, photography became the primary mode of illustration in the French press. From the journal L'Illustration, founded in 1843, to La Vie au grand air, which developed during the Belle Époque, photography evolved from being an iconographic aid for the engraver to becoming the main medium for illustrating news (in French).{{cite book}}: CS1 maint: multiple names: authors list (link) S2CID 190631876; OCLC 962019961 (all editions).
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      1. « Étoile-Bonne-Nouvelle » p. 208 (BSB). Free access icon
    1. Via HathiTrust (NYPL). Free access icon
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    1. Internet Archive (Trent). Free access icon
  • Album du vieux Paris, 1865–1868 (Première publication : 19 février 2014. Dernière mise à jour [Latest Update] : 16 février 2019).


    See La Gazette des tribunaux.
    1. Via Decalog.net (PDF).
    1. BnF 9764647w
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    4. ISSN 2452-7246 (BnF)
    5. ISSN 1770-6890 (HathiTrust)
    6. ISSN 1770-6777
    7. ISSN 1770-6882 ( ...et de Annuaire général du commerce, de l'industrie, de la magistrature et de l'administration [ ... and General Directory of Commerce, Industry, Judiciary and Administration].)
    8. ISSN 2610-2897 (Becomes Annuaire du commerce Didot-Bottin [Didot-Bottin Business Directory].)
    9. ISSN 3040-844X (Supplement: Album illustré de l'Almanach Didot-Bottin [Illustrated Album of the Didot-Bottin Almanac]: 1877–1879.)
      (Supplement: Annuaire illustré des fabricants [Illustrated Album of the Didot-Bottin Almanac]: 1880–1883.)
    10. OCLC 8450268 (all editions), OCLC 472031623 (all editions), and 1125689879
The term "imprimeurs-libraires de l'institut" refers not merely to a professional designation, but to a prestigious affiliation with a leading intellectual body, such as the Institut de France. During the 19th century, printers and booksellers granted this title were recognized for their excellence and entrusted with producing scholarly works on behalf of esteemed academic institutions. This association highlighted the firm's distinguished role in France's intellectual and cultural life, elevating it beyond a standard commercial operation.
    1. 1881: "84ᵉ année de la publication". Free access icon
    2. 1889: "92ᵉ année de la publication".
      1. "Première partie" [Part 1]. Free access icon
    3. 1891: "94ᵉ année de la publication".
      1. "Première partie" [Part 1]. Free access icon
      2. "Deuxième partie" [Part 2]. Free access icon
  • Perrousseaux, Yves (1940–2011) [in French] (1987). Histoire de l'écriture typographique, le XVIIIᵉ siècle [History of Typographic Writing, The 18th Century] (in French).{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
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    2. Tome II (Vol. 2) (BnF). Free access icon


  • Boivin, Léon Edmond (1863–1937) (March 11–17, 1917). "La technique du livre illustré moderne" ["The Technique of the Modern Illustrated Book"] – "Rapport présenté au Congrès national du livre" ["Report Presented at the National Book Congress"]. Congrès national du livre [National Book Congress] (Comité d'organisation : Société des gens de lettres, Cercle de la librairie, Comité du livre [Organizing Committee: Society of Men of Letters, Booksellers' Circle, Book Committee). Tome 1: "Rapports et vœux" [Vol. 1: "Reports and Wishes"]. Paris: Cercle de la librairie, de l'imprimerie, de la papeterie, du commerce de la musique et des estampes, 117 boulevard Saint-Germain, 117. Paris: Imprimerie de J. Dumoulin; 5, rue des Grands-Augustins, 5.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link) Retrieved October 17, 2024.
    1. Via BnF (Gallica). p. 141. Free access icon
    1. p. 784.
  • Black & White version published in: Marcelin (aka Émile Planat; 1829–1887) [in French], ed. (December 24, 1881). "Haute Bicherie – Basse Bicherie" [Fashionable Prostitution – Harlotry]. La Vie Parisienne (weekly). "Mœurs élégantes, choses du jour, fantaisies, voyages, théâtres-musique-beaux-arts, sport-modes" [Elegant manners, current affairs, fantasies, travels, theater-music-fine arts, sports-fashions] (in French). 19 (52): 748–749, 751.{{cite journal}}: CS1 maint: multiple names: editors list (link) CS1 maint: numeric names: editors list (link) Retrieved October 8, 2024. OCLC 6236763 (all editions) (journal); OCLC 953572701 (uncolored map).
    1. Via Gallica (BnFGallica). (Free Access)

References; patents

[edit]
(Abridgements = Summaries or Shortened Versions of the Original Patents).
    1. Part 1 → 1839–1859.
      1. Internet Archive (Columbia). 1861. Free access icon
      2. Google Books (Columbia). 1861. Free access icon
      3. Google Books (Columbia). 1861. Free access icon
    2. Part 2 → 1860–1866 (2nd ed.).
      1. Internet Archive (Columbia). 1872. Free access icon
      2. Google Books (Columbia). 1872. Free access icon
      3. Google Books (Columbia). 1872. Free access icon
    3. Part 3 → 1867–1876: N° 2391: Davies, George (July 30, 1868). "A communication from Hyacinthe de Font Réaule and Amédée Barret" (provisional protection only) — "A process for obtaining heliographic plates for printing". 1873. pp. 22–23.
      1. Via HathiTrust (Michigan). Free access icon
      2. Internet Archive (Columbia). Free access icon
      3. Google Books (Columbia). Free access icon
      4. Google Books (Columbia). Free access icon
    4. Part 3a → 1877–1883. 1885.
      1. Internet Archive (Columbia). Free access icon
      2. Google Books (Columbia). Free access icon
      3. Google Books (Columbia). Free access icon


    1. N° 426: Berchtold (February 27, 1855). p. 29.
      1. Via Internet Archive (Oxford). Free access icon
      2. Via Google Books (Oxford). Free access icon



    1. INPI N° 34719: Berchtold (1858). Pris du 1ᵉʳ janvier au 31 décembre 1857. p. 304.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
      1. Via BnF (Gallica). Free access icon
      2. Via HathiTrust (NYPL). Free access icon
      3. Via Google Books (Oxford University). Free access icon
      4. Via Google Books (NYPL). Free access icon
    1. INPI 35°: Berchtold (1859). Vol. 14, N° 746 (N° 7128 — Décret impérial qui proclame 1,173 brevets d'invention et des certificats d'addition. Du 13 octobre 1859). 11th Series. p. 906.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
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    2. INPI N° 81514: Barret (1873). Vol. 5, N° 106 (N° 1416 — Décret qui proclame des brevets d'invention et des certificats d'addition. Du 23 février 1872). 12th series. p. 290.{{cite book}}: CS1 maint: numeric names: authors list (link)
      1. Via BnF (Gallica). Free access icon
      2. Via HathiTrust (Harvard Law School). Free access icon
      3. Via Google Books (Harvard). Free access icon